Si pour l’instant, Donald Trump n’a pas encore inscrit le Maroc dans le tour de table de son «Alliance stratégique pour le Moyen-Orient», une adhésion du royaume pourrait le rapprocher de l’actuelle administration à Washington et des dons des monarchies du Golfe.
Sans surprise, Abderrahim Chikhi rempile pour un deuxième mandat à la tête du Mouvement Unicité et Réforme (MUR). Son élection, selon les règles des islamistes marocains, dans les premières heures de ce dimanche a été marquée par une «confrontation» avec son ancien mentor, Abdelilah Benkirane. Même s’il ne s’est pas mobilisé en coulisses et s'est excusé auprès des
Le PADS a choisi d’apporter une voix singulière en guise de critique du discours du trône.
Dans le règlement de la question du Sahara, le Maroc s’est toujours refusé d’accorder le moindre rôle au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine. Pourtant, après l’adhésion à ladite instance, en mars dernier, des diplomates marocains ont pris part à une mission de médiation de ce même CPS en Guinée-Bissau.
Une mission de la Commission de l’Union européenne est au Maroc pour entamer des consultations avec des Sahraouis sur l’accord de pêche. Hier, elle a rencontré des ONG unionistes en présence des présidents des sections régionales du CNDH à Laâyoune et à Dakhla.
En pleine période estivale, le Conseil de sécurité examinera le 8 août la situation au Sahara occidental, suite à une demande de Horst Köhler. Elle interviendra seulement deux mois avant l’échéance d’octobre consacrée à la prorogation du mandat de la Minurso.
Des membres du gouvernement espagnol se relaient pour demander à la Commission européenne d’accorder davantage d’aides au Maroc pour face aux flux de migrants. Après la lettre en ce sens de Pedro Sanchez au président de la CE, Jean-Claude Junker, c’est à la ministre de la Défense, Margarita Robles, de plaider la cause de Rabat. «Le Maroc fait face à un important flux migratoire de personnes en provenance du Sahel
Cette année, la CEDEAO a tenu trois sommets sans examiner la demande marocaine d’adhésion au groupe économique régional. Le processus est appelé à prendre du temps.
Après le «séisme» du 24 octobre 2017, le roi limoge un autre ministre. Mohamed Boussaid n’est plus ministre de l’Economie et des finances. Un coup dur pour le RNI et son image de parti «proche du Palais».
Lors de son 6e congrès, le Mouvement unicité et réforme a pour ambition d’instaurer une «séparation» avec la ligne politique du PJD. Un objectif qui paraît irréalisable au regard des liens difficiles à démêler entre les deux entités.