Vous avez aimé Dallas ? Vous allez adorer Journal d’un prince banni, le livre du prince Hicham, cousin du roi Mohammed VI. Déballage, sexe, argent, alcool, coups tordus, tous les ingrédients d’un récit captivant sont là, racontés par JR (aka Larry Hagman) lui-même. C’est une première, un membre de la famille royale qui raconte les secrets d’alcôves de la dynastie Alaouite. Cela devrait passionner les
Les rencontres économiques à Casablanca se sont focalisées, pour cette première édition, sur l'avenir de l'Afrique. Pour en débattre le Cercle des économistes a invité de nombreux experts, des chercheurs, et des ministres africains. Si parmi ces ministres, Moulay Hafid Elalamy était très attendu, Lahcen Haddad et Ahmed Réda Chami ont attiré mon attention par leurs styles très différents.
Aujourd'hui, le discours des dirigeants d'entreprises ou d'institutions publiques marocaines se conjuguent de plus en plus au temps de l'Afrique. Les banques, les assurances, certains opérateurs dans l'immobilier ou les télécoms sont habitués à présenter le volet africain lors de la présentation de leurs résultats. La CDG, même timidement, suit le mouvement.
Les dernières élections municipales en France ont acté l'effondrement du PS, consacré la percé inédite de l'extrême droite, et célébré la vague bleue pour la droite. Mais au lieu de remettre en cause le discours malsain ambiant, les décideurs politiques, les intellectuels ou les stars médiatiques, continuent à ignorer l'islamophobie régnante, ou pire l'encouragent.
En l’espace de quelques semaines, le roi Mohammed VI a lancé des initiatives ou des projets à coups de milliards de dirhams. Alors que le pays est déjà engagé dans de couteux projets, la question du financement de ceux nouvellement annoncés se pose.
Cette semaine a été un électrochoc pour les Casablancais. Les photos et articles relatant des cas d'agressions ou de vols avec violence se sont multipliés. Les politiques quant à eux semblent, encore une fois, vivre sur une autre planète.
L’expulsion récente de 14 réfugiés syriens vers Istanbul qui fait suite à la publication de deux communiqués au ton ferme du ministère des Habous et de celui de l’Intérieur, a suscité beaucoup d’incompréhension au sein des ONG, du HCR, mais aussi chez beaucoup de citoyens marocains. Si certains essayent de trouver une explication plus ou moins rationnelle, le mutisme des autorités marocaines ajoute à
Le Maroc va mal. C’est un constat émis par bon nombre de nos concitoyens qui vivent difficilement la crise économique. Les plus désespérés sombrent dans les activités illégales pour joindre les deux bouts. Pourtant, des liens de solidarité, de courage et de justice continuent à assurer la cohésion de la société marocaine. Tout n’est pas perdu. Récit d’une histoire vécue, ce lundi,
Une question «provoc», qui est souvent formulée par certains responsables ou même citoyens lambda pour empêcher tout élargissement de ce droit fondamental au Maroc. Après la percée des chaines satellitaires, le succès des licences octroyées pour des radios privées, l'ouverture ratée pour les chaines télés privées, le tsunami provoqué par le foisonnement des sites d'informations, blogs et
Le ministre Anis Birou s’est engagé dans une vaste opération de sensibilisation des différents acteurs du royaume. Ce matin, vendredi 7 février, c’est devant plusieurs membres de la CGEM, qu’il a présenté la nouvelle politique migratoire du Maroc et a répondu aux différentes questions ou appréhensions des patrons marocains.