C’est un génocide, pointé comme plausible par la Cour Internationale de Justice et confirmé par les plus grandes organisations de défense des droits humains, qui se déroule sous les yeux du monde entier qui laisse faire. Et maintenant, Israël annonce clairement son plan pour s’emparer de Gaza et regrouper puis expulser ses habitants, avec l’appui direct des États-Unis et la passivité complice des chancelleries occidentales.
En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée, déplacée de force, menacée par les colons et l’armée israélienne.
Elle ne pleure pas. Elle ne gémit pas. Elle ne crie pas à l’aide.
Son hijab est trempé de son propre sang. Ses pieds foulent les ruines de sa vie. Elle porte deux enfants, un sous chaque bras, non pas avec force, mais avec détermination.
Derrière elle, Gaza est en morceaux. Mais elle est toujours entière.
Non pas parce qu’elle est indemne. Mais parce qu’elle refuse de s’effondrer. Parce qu’elle sait que ses enfants ont plus besoin de son calme que de ses cris. Parce que dans un monde qui lui tourne le dos, une mère ne peut pas se le permettre.
Ce n’est pas seulement de la force. C’est sacré. C’est de la résistance enveloppée d’un hijab beige et de sang. C’est la maternité à Gaza : brute, résiliente et rayonnante.
Elle est le titre qui ne paraît jamais. Elle est le cri qui ne fait jamais la une des journaux. Elle est l’âme d’un peuple qui se tient debout sous un ciel qui tombe.
Partagez ce souvenir impérissable, non seulement pour ce à quoi elle a survécu, mais aussi pour la façon dont elle a choisi de survivre avec dignité, grâce et en serrant ses enfants contre son cœur.
Rappelez-vous toujours qui lui a fait ça, comment et pourquoi. Les génocidaires sionistes utilisent les moyens que les occidentaux et les traîtres arabes lui fournissent simplement parce qu’ils sont Palestiniens.