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Les islamistes multiplient les procès contre les intellectuels.


Aujourd'hui, Nasr Hamed Abou Zeid, professeur d'arabe à l'université du Caire, et sa femme Ibtihal Younès seront fixés sur leur sort au terme d'un cauchemar juridique qui dure depuis bientôt deux ans. Un collectif d'avocats islamistes a en effet demandé qu'il soit séparé de son épouse parce que ses travaux universitaires, dans lesquels il plaide pour une lecture critique des textes fondateurs de l'islam, font de lui un «apostat». La charia, la loi islamique, interdit toute union entre une musulmane et un non-musulman. Un tribunal de Guiza avait repoussé en janvier 1994 la demande des avocats islamistes en première instance, au motif qu'ils n'avaient pas d'intérêt personnel dans cette affaire. Mais ils sont revenus à la charge et la cour d'appel doit maintenant rendre son verdict.

L'affaire Abou Zeid est la plus spectaculaire mais assurément pas la seule de ce genre. Les tribunaux égyptiens font face à une multiplication des procès intentés par des membres de la nébuleuse islamiste à des écrivains, artistes ou journalistes. «Il s'agit d'un plan soigneusement mis au point afin d'intimider tous ceux qui pensent dans ce pays», accuse Mohamed Saïd Al-Ashmawi, ancien juge et auteur de plusieurs ouvrages où il reproche aux islamistes de s'approprier le Coran à des fins politiques. Il est poursuivi par un obscur avocat, Sayed Abdel Rahman, ainsi que 24 autres journalistes et collaborateurs du magazine gouvernemental, Rose Al-Youssef, dans lequel il écrit régulièrement. Il faut ajouter Naguib Mahfouz à cette liste: le 14 octobre, le prix Nobel de littérature avait échappé à un attentat islamiste. Tous encourent une peine de six mois à trois ans de prison pour «atteinte à l'islam». «Si le juge applique la loi, estime Al-Ashmawi, aucun d'entre nous ne sera condamné. Mais comme le corps judiciaire est largement infiltré par les islamistes et que l'on ne sait jamais ce qui peut se passer... souvenez-vous de l'Emigré de Chahine, interdit en première instance avant que le tribunal corrige cela en appel.»

Chahine, justement, fait l'objet quant à lui d'un véritable tir de barrage judiciaire. Depuis le 29 mars, date à laquelle son film a été autorisé à nouveau, deux recours en annulation du jugement ont été déposés par deux avocats différents. Enfin, le film fait aussi l'objet d'une demande d'interdiction par un avocat copte, Hosni Himi Abadir, qui reproche à Chahine d'avoir trahi l'histoire biblique de Joseph, alors qu'au contraire ses censeurs islamistes l'accusent de s'en être inspiré.

Les plaintes déposées par les islamistes se font de plus en plus sophistiquées. «L'avocat qui nous attaque, explique Adel Hamouda, rédacteur en chef de Rose Al-Youssef, a déposé des plaintes séparées afin que chaque cas donne lieu à un procès. De plus, il nous a traînés devant la cour criminelle, ce qui oblige chaque journaliste incriminé à être présent aux audiences le concernant, comme un vulgaire malfaiteur. Cette affaire va prendre beaucoup de temps et nous coûter une fortune en frais d'avocats.» A l'inverse, le harcèlement juridique ne coûte pas cher: moins de 40 F par plainte. Comme le faisait récemment remarquer Oussama Salama, journaliste à Rose Al-Youssef, dans un article vengeur: «Si vous êtes un obscur avocat en manque de clientèle, trouvez un journaliste et faites-lui un procès pour apostasie! Tous les journaux, toutes les agences de presse accourront dans votre cabinet.»

Préoccupés par la multiplication de ce genre de procès et par l'écho médiatique qu'ils rencontrent, les juges qui ont statué en appel en faveur de l'Emigré ont demandé dans leurs attendus au législateur de «préciser explicitement les domaines dans lesquels les individus peuvent intenter des procès relatifs à des questions d'ordre public et d'intérêt général, afin de ne pas encombrer les tribunaux». C'est le noeud du problème. Tous les procès lancés par les islamistes ces dernières années l'ont été au nom d'une notion présente dans le droit islamique, la Hisba, mais jamais explicitement mentionnée dans le droit égyptien. La Hisba, qui par extension peut être définie comme l'intérêt général, est le droit de tout musulman de défendre sa religion quand il l'estime menacée. Le problème, c'est que selon l'article 2 de la Constitution égyptienne, «la charia est la source principale de la loi en Egypte». De même, le code civil fait référence aux «principes juridiques de la loi islamique».

Pour le juriste Salim Al-Awa, avocat à la Cour de cassation et juriste proche du courant islamiste modéré, «ces deux références suffisent à permettre le dépôt de plaintes au nom de l'intérêt général. C'est une question de liberté essentielle même si, bien sûr, on ne peut pas empêcher une utilisation politique de cette possibilité offerte à tout citoyen». A l'image de cette plainte déposée par un cheikh islamiste, Youssef Al-Badri, contre un propriétaire de cinéma copte pour «atteinte à la pudeur». Il reproche à Badie Sobhi d'avoir exposé au public l'affiche du film Abi Foq Al-Chagara (Mon père au-dessus de l'arbre), sur laquelle deux acteurs échangent un baiser. Ce film de 1969 est l'un des plus grands succès du cinéma égyptien.

«Tout cela fait partie du jeu politique, estime Hossam Eissa, professeur de droit. Les islamistes cherchent par ce biais à s'offrir une tribune. Du point de vue politique, c'est de bonne guerre car le gouvernement ne leur fait pas de cadeaux. Même si, au plan moral, c'est peu ragoûtant.» D'ailleurs le camp «anti-islamiste» commence à découvrir qu'il peut lui aussi user des mêmes méthodes: récemment, l'Organisation égyptienne des droits de l'homme a réclamé 800.000 F de dommages et intérêts au cheikh d'Al-Azhar pour avoir justifié l'excision. Dernière affaire en date, plutôt comique celle-ci: la plainte déposée par un citoyen contre le président Moubarak qui n'a pas daigné assister à l'anniversaire dudit citoyen auquel il était invité. L'intérêt accordé par la presse gouvernementale à cette histoire est-il le signe avant-coureur de la décision du pouvoir de mettre un frein à la frénésie judiciaire des Egyptiens?.

bonsoir
hélas la religion a et elle est toujours un outil très efficace pour arriver au pouvoir quant toutes les vois sont fermées ou difficile d'accès je peux citer plusieurs exemples , mais je me contente que du plus frappant le FIS en Algérie
les dirigeants de cette mouvance n'ont pas eu recours aux ar:mes pour assassiner des millions des innocents musulmans comme eux au contraire ils ont utilisé que des mots , des citations , des hadiths pour enflammer les gens et les pousser à commettre l'irréparable, à savoir de massacres horribles
bonne soirée

Personnellement, je trouve que la Loi et la religion ne devrait pas être mélangé.. Mais dans des pays ou justement la Loi est basée sur la religion.. Comment faire ?

bonsoir
ls s'en sert pour atteindre leur but avoir le pouvoir complet et entier avec comme devise ,

rien partager, rien discuter , rien tolérer

Vous avez un train de retard. Votre maître Nasr Abu Zayd est décédé lundi. 'Alayhi min Allahi ma yastahiqq. Wa jama'a Allahu man habbahu ma'ahu.

Rastapoo
[b]votre maitre[/b] ? c est un honneur qu il soit notre maitre merci
il est mort age 67 ans la semaine derniere c est pour cela ce sujet est poste comme hommage a cet intellectuel qui a lutte contre les terroristes et les extremistes comme [[b]b]ton maitre dawahiri et son ami ben laden qui se cachent dans les grottes de l afghan[/b][/b]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/07/10 15:17 par faisal28.

Salam

Encore un article farfelu. Avez vous vérifié la source ?????

Si le gouvernement Égyptiens était islamique ça se serait. On oublie trop vite le mur de la honte entre l'Égypte et GAZA.
Se mur est la pour faire plaisir au sioniste.

Connaissez vous le MEMRI

Traduction ou trahison ?
Désinformation à l’israélienne

La stupéfiante condamnation pour antisémitisme d’Edgar Morin, de Sami Naïr et de Danièle Sallenave par un tribunal français fait écho à la campagne que certaines agences organisent pour étouffer toute critique de la politique israélienne. Parmi celles-ci, le Memri, qui présente l’essentiel des journalistes des médias arabes et musulmans comme des fanatiques antioccidentaux et antisémites.

Ce genre d'article sent le MEMRI ==> Désinformation à l'israélienne



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/07/10 21:54 par wakrim.

il y au sein meme de la polpulation, des activistes pro israelins qui foute le trouble et les désaccords entre musulmans.
par ailleurs ,le fait de dialoguer sur tout les themes n'est pas interdit en islam , on est pas obliger d'accepter ce que dit notre interlocuteur ,ni d'etre d'accord, il n'y a pas lieu d'attquer tt le monde en justice ou d'assassiner!!!!!!!!!! mais malheureusement cela existe mm ds les pays dits demcratique!!!!!!!!!!! d'essayer de faire taire les gens!!!!!!!!!! des qu'il s'agit de musulmans n les accusent tjrs d'islamistes ,de terroristes!

Le Caire, de notre correspondant.

En quelques semaines, c'est devenu le mot de l'année. Des cercles intellectuels au petit peuple, toujours prompt à transformer l'actualité en nokat (blague), en passant par les éditorialistes de la presse cairote, tout le monde disserte sur la hisba. Jusque-là, ce n'était qu'un obscur concept de droit islamique surtout présent dans la tradition hanafite, l'une des quatre écoles d'interprétation sunnites. C'est devenu le symbole de la liberté menacée des artistes et intellectuels égyptiens.

La hisba est la possibilité donnée à tout musulman de défendre l'islam lorsqu'il estime sa religion bafouée ou menacée. C'est devenue l'une des armes favorites des islamistes pour intimider les penseurs et artistes dont les prises de position ne leur plaisent pas. Malgré son abolition en 1955, les magistrats ont gardé la possibilité d'y recourir: on estime que 500 procès ont été intentés par le biais de la hisba l'année écoulée.

C'est au titre de la hisba que Nasr Hamed Abou Zeid, professeur à l'université du Caire, a été déclaré apostat et sommé de divorcer de sa femme le 14 juin 1995 (Libération du 15 juin 1995 et du 16 janvier 1996). Et c'est à ce titre que le cheikh Youssef al-Baldri, un islamiste rendu célèbre par son usage immodéré de la hisba, avait annoncé récemment son intention de faire subir le même sort au prix Nobel de littérature Naguib Mafouz, ainsi qu'à une quarantaine d'autres acteurs, écrivains et journalistes.

«Trop, c'est trop», ont jugé les intellectuels qui ont alors envoyé une pétition au président de la République, Hosni Moubarak, afin qu'il intervienne. Pour une fois, ils ont été entendus, puisque, à peine une semaine plus tard, le 29 janvier, une loi était adoptée par le Parlement à l'unanimité et avec une rare célérité. Désormais, c'est au parquet de juger si une plainte déposée au titre de la hisba est recevable. Dans l'affirmative, le procureur général se substitue au plaignant et le représente tout au long du procès.

Mais, comme toujours lorsqu'il s'agit de liberté de pensée, les décisions du gouvernement égyptien sont marquées au sceau de l'ambiguïté. Comme l'explique Beaudoin Dupré, chercheur au Centre d'études et de documentations économiques et juridiques (CEDEJ) du Caire, «ce que l'Etat craignait par-dessus tout, c'était de perdre le contrôle. Ce principe juridique, utilisé à outrance, portait en lui un risque de chaos total. La nouvelle loi est une façon de dire: la hisba est une action d'ordre public, et doit retourner à celui qui détient l'ordre public».

Il est fort probable, en effet, que le principale motivation du pouvoir soit d'écarter le risque qu'un jour, un avocat ait la mauvaise idée de demander le divorce ou le retrait de la garde des enfants d'un ministre, voire du président Moubarak. Le gouvernement s'est donc empressé de désamorcer la bombe avant qu'elle ne lui explose à la figure. Mais il y a de fortes chances que les affaires en suspens suivent leur cours et que Nasr Hamed Abou Zeid, dont le pourvoi en cassation doit bientôt être jugé, soit sacrifié sur l'autel d'une opinion publique qui lui est largement défavorable.

Il y a plus grave. Plusieurs défenseurs des droits de l'homme estiment que la nouvelle loi entérine et pérennise un concept qui n'avait jusqu'à présent pas d'existence légale dans le corpus juridique égyptien. «La nouvelle loi n'élimine pas la hisba ni son utilisation comme instrument de persécution et d'intimidation des intellectuels. Il s'agit d'une étape importante mais limitée», estime le Centre d'aide légale aux droits de l'homme. «Cette loi ne protège nullement les intellectuels, renchérit Mohamed Saïd al-Ashmawi, un ancien magistrat devenu la cible des menaces intégristes pour ses prises de position. Cette réforme revient en fait à établir des tribunaux d'inquisition. Maintenant, c'est l'Etat qui peut intimider à tout moment les intellectuels en les menaçant de la hisba.»

En fait, l'affaire de la hisba souligne une nouvelle fois le dilemme du gouvernement égyptien qui lutte avec férocité contre l'islamisme politique tout en donnant des gages aux secteurs les plus intégristes de la société afin de ne pas se laisser déborder. «L'islamisme de prétoire» est d'autant plus difficile à contrer qu'il cherche à créer un climat général de chasse aux sorcières. Sa force est de questionner la société égyptienne là où elle a le plus mal en l'obligeant à définir son identité et sa morale... islamique, bien entendu.

Le cheikh Youssef al-Badri est le meilleur exemple de ces «snipers judiciaires». A 58 ans, son cursus, déjà bien rempli, est pour le moins hétéroclite: doté d'une formation religieuse plutôt légère, il a été, entre autres, député de 1987 à 1990, coresponsable en 1992-1993 de la mosquée où officiait le célèbre Omar Abdel Rahman dans le New Jersey... Tout comme ce dernier, il porte la barbe non taillée, la djellaba blanche, le sourcil arqué et le verbe théâtral. «La hisba est le principal pilier de l'islam», explique-t-il. Depuis que la polémique a éclaté au grand jour, l'appartement de Youssef al-Badri, qui ne se fait pas prier pour recevoir la presse, ne désemplit pas. Aujourd'hui, il dit avoir voulu intenter un procès à Mafouz. Pour ajouter aussitôt: «J'admire beaucoup son oeuvre, mais il devrait renier les Fils de la Médina», roman qui lui valu l'anathème d'Omar Abdel Rahman et une tentative d'assassinat en octobre 1995. De même, Youssef al-Badri dit avoir l'intention de poursuivre une quarantaine de personnes. «Seulement ceux qui s'en prennent à moi personnellement»: cela fait déjà pas mal. Il a déjà réussi à faire condamner un directeur de cinéma à deux mois de travaux forcés pour une affiche trop osée. La condamnation d'Abou Zeid est l'un de ses principaux motifs de fierté. Il a enfin réussi à faire condamner un journaliste qui s'en prenait au «terrorisme intellectuel». Il ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et espère bien faire interdire le dernier film d'Adel Imam (la star du comique égyptien), les Oiseaux des ténèbres: «Mon nom n'y est pas cité, mais c'est clair, on se moque de moi.» Malgré la nouvelle loi, Youssef al-Badri a confiance en l'avenir: «Avant, la hisba n'était qu'un concept obscur et peu utilisé. Aujourd'hui, c'est devenu un principe de droit auquel on peut recourir par l'intermédiaire du parquet. Demain, tout le monde aura accès à la hisba. Moi, je n'ai fait que pousser l'Etat à avancer dans la bonne voie.» Reste à savoir si c'est la même.

Citation
sakki a écrit:
bonsoir
hélas la religion a et elle est toujours un outil très efficace pour arriver au pouvoir quant toutes les vois sont fermées ou difficile d'accès je peux citer plusieurs exemples , mais je me contente que du plus frappant le FIS en Algérie
les dirigeants de cette mouvance n'ont pas eu recours aux ar:mes pour assassiner des millions des innocents musulmans comme eux au contraire ils ont utilisé que des mots , des citations , des hadiths pour enflammer les gens et les pousser à commettre l'irréparable, à savoir de massacres horribles
bonne soirée

Et au Maroc? Le pouvoir actuel est peut être complètement étranger à la religion? Il est peut être issu du peuple démocratiquement?

Tu vois que l'Algérie toi apparemment... Laisse moi te rappeler que le FIS a gagné les élections démocratiquement lui au moins...

Balaye devant ta porte avant de t'intéresser aux défauts de tes voisins...

Pour revenir au sujet, j'avoue que je n'ai pas été au courant de cette histoire...

C'est complètement immonde comme attaques contre cet homme. C'est à vomir ses tripes et changer de culture ma parole...

Mais qu'est ce que ça veux dire ça à la fin?????

J'ai honte de savoir que ce genre de choses se passent encore en 2010...J'hallucine...

Citation
boutrioult1 a écrit:

Citation
sakki a écrit:
bonsoir
hélas la religion a et elle est toujours un outil très efficace pour arriver au pouvoir quant toutes les vois sont fermées ou difficile d'accès je peux citer plusieurs exemples , mais je me contente que du plus frappant le FIS en Algérie
les dirigeants de cette mouvance n'ont pas eu recours aux ar:mes pour assassiner des millions des innocents musulmans comme eux au contraire ils ont utilisé que des mots , des citations , des hadiths pour enflammer les gens et les pousser à commettre l'irréparable, à savoir de massacres horribles
bonne soirée

Et au Maroc? Le pouvoir actuel est peut être complètement étranger à la religion? Il est peut être issu du peuple démocratiquement?

Tu vois que l'Algérie toi apparemment... Laisse moi te rappeler que le FIS a gagné les élections démocratiquement lui au moins...

Balaye devant ta porte avant de t'intéresser aux défauts de tes voisins...

Pour revenir au sujet, j'avoue que je n'ai pas été au courant de cette histoire...

C'est complètement immonde comme attaques contre cet homme. C'est à vomir ses tripes et changer de culture ma parole...

Mais qu'est ce que ça veux dire ça à la fin?????

J'ai honte de savoir que ce genre de choses se passent encore en 2010...J'hallucine...

Le Maroc est un pays de très bonne gouvernance conduit par des gens cultivés, sérieux et compétents, et en particulier et sans concurrence par M6 car il est sacrément bon. Le Maroc est un pays où la religion est sympathique, et ne s'oppose pas à la transformation sociale pour une société évoluée et progressiste.

Citation
joandemilan a écrit:


Le Maroc est un pays de très bonne gouvernance conduit par des gens cultivés, sérieux et compétents, et en particulier et sans concurrence par M6 car il est sacrément bon. Le Maroc est un pays où la religion est sympathique, et ne s'oppose pas à la transformation sociale pour une société évoluée et progressiste.

Et les marmottes font la prière sur des "séjadattes" en papier aluminium

Le roi du Maroc puise sa légitimité de la religion cher Joan! Sympathique ou Répugnante la religion est le pilier du pouvoir au Maroc et non la démocratie!

Un pouvoir héréditaire sans consulter le peuple d'ailleurs (même en sondage ^^) ! il est beau ton pays de très bonne gouvernance et conduit par des gens cultivés.

Même toi si on t'intronisait roi demain, tu vas gouverner le pays à ta guise et croire que tu es bien cultivé sérieux et compétent en muselant la presse et mettre tes fidèles pions aux postes stratégiques (et leur donner carte blanche de se servir) et mettre sous tutelle la justice dans le pays...

Demain si on ouvre les frontières de l'Europe aux marocains, tu vas la voir en 3D cette bonne gouvernance sympathique sérieuse et compétente...

Bref ce n'est pas le sujet ici.

L'institution royale se sert de la religion pour se maintenir au pouvoir au plus beau pays du monde point. Sympathique ou non sympathique c'est un autre sujet...

Non sympathique, tiens il ne manquerai plus que ça ^^ pourquoi pas? rien ne l'empêche de le faire d'ailleurs ^^

les ''musulmans'', surtout ceux dits '' arabes'', n'ont JAMAIS créé ou produit un quelconque bien pour l'humanité ! ils ne font que se vautrer dans le luxe qu'ils se sont accaparé aux dépens du reste de leurs semblables !

ils ne savent que parler pour ne rien dire, se réunir pour ne rien décider et appliquer, échanger des embrassades devant les médias, crier au loup, protester, pour à la fin s'allier avec le loup discrètement.... vous savez de qui je parle...

tant que la religion s'immisce dans le ''politique'' pour atteindre ses buts, tant que la religion dite d'ETAT est appliquée par l'exécutif, alors que cette religion est une question ''personnelle'' et individuelle, RIEN NE MARCHERA dans le monde musulman !

Alors il faut creuser un fossé ''insondable'' entre cette religion et la politique et la gestion d'un pays !
mais quand on sait que c'est cette même religion qui ''maintient'' à leurs postes rois et présidents, on ne fait que rêver..........

boutriolt ,
mon sujet est poste dans l actualite internationale tu dois respecter ca , si tu veux parler seulement du maroc , il ya l actualite marocain pour ca

Islam en Puissance > >> >>> >>>> >>>>> >>>>>> >>>>>>>

Salam

Le prince Saoudien Alwaleed bin Talal s’allie avec Rupert Murdoch !



Modifié 3 fois. Dernière modification le 11/07/10 11:44 par wakrim.

Citation
faisal28 a écrit:
boutriolt ,
mon sujet est poste dans l actualite internationale tu dois respecter ca , si tu veux parler seulement du maroc , il ya l actualite marocain pour ca

Désolé

Citation
wakrim a écrit:
Salam

Le prince Saoudien Alwaleed bin Talal s’allie avec Rupert Murdoch !

...et prouve une fois de plus,que la défense de l’islam est le dernier des soucis de ce « Prince »…

wa 3alaykoum salaam wa ra7matou llaahi ta3aala wa barakaatouh,

je crois bien qu'il est du mauvais cote.

ZONE INTERDITE - La vie Incroyable du prince AL-Waleed Ben talel >>> [video.google.com]

hééééé il est génial ce prince, il veut combattre les traditions païennes qui assouvissent les femmes saoudiennes

"Qu'Allah te garde de la folie des hommes préhistoriques prince AL-Waleed Ben talel"