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Un homme exceptionnel**
I
Ima
21 septembre 2004 10:38
As Salam Aleikom

Un savant aveugle mais qui voyez tout. Ecoutez juste un seul de ses prêches et votre foi va atteindre des sommets encore inexplorés...

Sheikh `Abd Al-Hamîd Kishk
Le Chevalier du mimbar et le prince des prédicateurs
Né en 1933, à Shabrakhît, province d’Al-Buhayrah en Egypte ; Décédé en 1996.

Le parcours du combattant

Sheikh `Abd Al-Hamîd Kishk naquit dans une famille d’un niveau de vie très modeste. Son père était un petit commerçant de la ville de Shabrakhît. Au cours de son enfance, à la fin du cycle primaire, il perdit la vue. Il affirma avec beaucoup de foi que Dieu lui ôta la vue et remplaça cette lumière par la lumière du Coran qui illuminait son cœur.

Sheikh Kishk commença tôt l’apprentissage du Saint Coran dans sa ville. A l’âge de douze ans, il avait appris tout le Coran par cœur. Il partit à Alexandrie pour étudier dans la section primaire d’Al-Azhar, dans l’institut des études religieuses.

En 1952, le père de Sheikh Kishk quitta le monde. À l’époque, le Sheikh était devenu un prédicateur à l’issue du cycle primaire d’Al-Azhar. Il a tenté en vain de soigner ses yeux pendant deux ans. Son frère aîné, qui avait beaucoup d’ambitions pour lui, l’encouragea à partir pour Le Caire afin de s’inscrire au cycle secondaire, ce qui lui ouvrirait la voie vers l’enseignement supérieur d’Al-Azhar.

Au Caire, la vie du Sheikh n’était pas facile. Il avait toujours besoin d’une personne pour l’accompagner jusqu’à l’institut d’Al-Azhar. De même, l’apprentissage et la révision de ses cours n’étaient pas sans difficultés. Parfois il trouvait un ami aimable pour lui lire quelques pages, mais d’autres fois, il levait les mains au ciel priant Dieu pour lui envoyer une personne prête à lui lire. A une époque, il devait compter sur un vendeur de légumes qui avait l’amabilité de lui lire quotidiennement ses cours.

La première expérience du Sheikh avec le mimbar, la chaire de la mosquée, fut à Shabrakhît quand son oncle lui demanda de prêcher dans l’une des mosquées de la ville. Lorsqu’il s’inscrivit au cycle secondaire d’Al-Azhar, il fit la connaissance de Sheikh Ahmad `Îsâ `Âshûr, le président d’une association religieuse (Al-Jam`iyyah Ash-Shar`iyah). Cette association a construit de nombreuses mosquées en Egypte et recrutait des prédicateurs à des niveaux différents de leurs études dans Al-Azhar. Sheikh Ahmad `Âshûr encouragea vivement Sheikh `Abd Al-Hamîd pour qu’il entreprenne une carrière de prédicateur.

Le prodigieux étudiant que fut Sheikh Kishk obtint son diplôme du cycle secondaire d’Al-Azhar à la fin des années 50. Pendant ses études au cycle secondaire, il était toujours le premier. A son examen de passage de la troisième à la quatrième année du cycle, il obtint un total de 100%. L’année du diplôme, il fut le premier de tous les étudiants d’Al-Azhar avec un total de 98.5%.
Il s’inscrivit à la Faculté des Fondements de la Religion (Usûl Ad-Dîn). Dans son autobiographie, Sheikh Kishk cite Sheikh `Abd Al-Halîm Mahmûd comme un excellent modèle du professeur humble et au savoir profus.

En 1962, une fois de plus, et malgré la difficulté latente pour trouver un lecteur pour l’aider, Sheikh `Abd Al-Hamîd fut le premier au classement pour le diplôme de fin d’études d’Al-Azhar. Chaque année, les majors de promotion étaient retenus pour enseigner à Al-Azhar. Mais l’année du Sheikh fut une exception : personne ne fut retenu. On lui assigna la mission de prédicateur dans une mosquée du Caire.

Sheikh Kishk était un prédicateur très actif. Il fit de la mosquée un véritable centre d’éducation publique. Il dispensa, pratiquement tous les jours, des cours d’interprétation du Coran et il enseigna la vie du prophète, la jurisprudence et la théologie.
Sa renommée était en constante croissance. Il raconte que la première fois où il fit le sermon du vendredi dans sa mosquée, l’audience ne constituait que deux rangs.
Très vite, les cafés, les rues et les commerces devenaient déserts lorsque Sheikh Kishk donnait une leçon dans la mosquée, devant une audience sans cesse croissante. Il fut transféré à une grande mosquée du Caire, la Mosquée de `Ayn Al-Hayâh où sa renommée atteignit des sommets.

Sheikh Kishk était caractérisé par un style unique et saisissant dans la prédication. Son éloquence, la force de sa voix, la beauté de son style, la sincérité de ses propos ouvraient les cœurs de l’audience. A son écoute, les cœurs débordaient d’émotion.

En 1965, un messager du gouvernement lui demanda de déclarer publiquement que Sayyid Qutb était un apostat ! Sheikh Kishk, qui avait beaucoup de respect pour la pensée du martyr Sayyid Qutb, fut emprisonné pour avoir refusé l’ordre du gouvernement.
A l’image de Sayyid Qutb, Sheikh Kishk ne craignait que Dieu, et il dénonça haut et fort les abus du gouvernement malgré les terribles tortures qu’il a subies pendant trois ans en prison. Sa tristesse fut énorme quand il apprit, depuis sa cellule de prison, l’exécution de Sayyid Qutb en 1966.

Au début des années 70, les nombreux disciples de Sheikh Kishk commencèrent une tradition qui donna à la réputation du Sheikh une dimension nationale.
Toutes ses leçons et tous ses sermons du vendredi étaient enregistrés sur cassettes. Ses cassettes étaient parfois distribuées de façon irrégulière.
Mais à la fin des années 70, les cassettes de Sheikh Kishk étaient largement appréciées dans tout le monde arabe depuis le Maroc jusqu’aux pays du Golfe.
Une grande partie de la communauté musulmane arabophone veillait à se procurer les cassettes de ses leçons, intitulées Madrasat Muhammad (A L’Ecole de Muhammad

Sheikh Kishk avait l’habitude de s’impliquer, dans ses sermons et ses leçons, dans tous les problèmes liés la société. Il a lutté contre toutes les formes de déviance, d’inconduite ou d’abus.
Il disait : « La chose que j’ai haïe le plus au monde, c’est l’injustice. »
Il combattait les injustices en élevant haut sa voix avec le cri de vérité. Son comportement digne lui a pourtant valu de nombreux désaccords avec des membres du gouvernement...

Ses écrits

Sous la présidence d’As-Sâdât, qui voulait liquider toute opposition, Sheikh Kishk fut emprisonné une deuxième fois. Cette fois, son séjour en prison fut court et il retrouva la liberté après l’assassinat d’As-Sâdât. Suite à sa libération, il fut interdit de prédication. Il se retourna alors vers l’écriture d’ouvrages islamiques. Parmi ses écrits :


Les voies du Salut
Les jardins du Paradis
L’éducation des âmes
Ceux qui ont une âme apaisée
La vie de l’être humain
Des images de la grandeur de l’islam
Une guidance pour le Serviteur
La guérison des cœurs
Des vérités concernant l’âme
Un discours du cœur
La prière, la couronne des cultes
L’Islam et les principes d’éducation
La guidance et la lumière

Il a laissé de nombreux autres ouvrages avant que son âme réponde à l’appel de son Seigneur en 1996, pendant qu’il était prosterné dans sa prière.

Que Dieu l’englobe dans sa Miséricorde et qu’Il le loge dans les hautes demeures du Paradis.

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
t
21 septembre 2004 12:36
salam, bonjour,

C'était un homme extraordinaire.

Rahima ou allah.

J'ai télécharger un de ces dorss en arabe qui est traduit en français machallah.

Sur le mariage smiling smiley
t
21 septembre 2004 13:10
salam, bonjour,

Si tu le permet Ima voila un lien

[www.jannah.com]

w
21 septembre 2004 13:47
salam**

MachaALLAH cest toujours un plaisir de lire et relire cette fabuleuse histoire du sheikh kishk RAHIMAHO LAH
soubhanalah j'en ai des frissons, qu'ALLAH lui accorde le Huat paradis.

Brakalahofikom les filles, ALLAHI JAZIKOM BI KHIR INCHAALLAH
I
Ima
21 septembre 2004 14:07
As Salam aleikoum,

je ne connaissais pas du tout l'histoire de ce sheik. J'ai été émue de lire l'histoire de ce grand homme.

Si vous avez des histoires comme celle de ce cheik, n'hésitez pas a les poster.smiling smiley

barakallaoufik pour le lien Tinky.winking smiley
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
t
21 septembre 2004 20:20
salam


barak'allah o fikoum les filles

le site est géniale!! y'a entre autre un logiciel pour apprendre le Coran très bien fait..

salam
t
22 septembre 2004 10:07
salam, bonjour,

Tinky est un garçon smiling smiley

tawmat
m
22 septembre 2004 12:55
Ima a écrit:
-------------------------------------------------------
> As Salam Aleikom
>
> Un savant aveugle mais qui voyez tout. Ecoutez
> juste un seul de ses prêches et votre foi va
> atteindre des sommets encore inexplorés...
>
> Sheikh `Abd Al-Hamîd Kishk
> Le Chevalier du mimbar et le prince des
> prédicateurs
> Né en 1933, à Shabrakhît, province d’Al-Buhayrah
> en Egypte ; Décédé en 1996.
>
> Le parcours du combattant
>
> Sheikh `Abd Al-Hamîd Kishk naquit dans une famille
> d’un niveau de vie très modeste. Son père était un
> petit commerçant de la ville de Shabrakhît. Au
> cours de son enfance, à la fin du cycle primaire,
> il perdit la vue. Il affirma avec beaucoup de foi
> que Dieu lui ôta la vue et remplaça cette lumière
> par la lumière du Coran qui illuminait son cœur.
>
> Sheikh Kishk commença tôt l’apprentissage du Saint
> Coran dans sa ville. A l’âge de douze ans, il
> avait appris tout le Coran par cœur. Il partit à
> Alexandrie pour étudier dans la section primaire
> d’Al-Azhar, dans l’institut des études
> religieuses.
>
> En 1952, le père de Sheikh Kishk quitta le monde.
> À l’époque, le Sheikh était devenu un prédicateur
> à l’issue du cycle primaire d’Al-Azhar. Il a tenté
> en vain de soigner ses yeux pendant deux ans. Son
> frère aîné, qui avait beaucoup d’ambitions pour
> lui, l’encouragea à partir pour Le Caire afin de
> s’inscrire au cycle secondaire, ce qui lui
> ouvrirait la voie vers l’enseignement supérieur
> d’Al-Azhar.
>
> Au Caire, la vie du Sheikh n’était pas facile. Il
> avait toujours besoin d’une personne pour
> l’accompagner jusqu’à l’institut d’Al-Azhar. De
> même, l’apprentissage et la révision de ses cours
> n’étaient pas sans difficultés. Parfois il
> trouvait un ami aimable pour lui lire quelques
> pages, mais d’autres fois, il levait les mains au
> ciel priant Dieu pour lui envoyer une personne
> prête à lui lire. A une époque, il devait compter
> sur un vendeur de légumes qui avait l’amabilité de
> lui lire quotidiennement ses cours.
>
> La première expérience du Sheikh avec le mimbar,
> la chaire de la mosquée, fut à Shabrakhît quand
> son oncle lui demanda de prêcher dans l’une des
> mosquées de la ville. Lorsqu’il s’inscrivit au
> cycle secondaire d’Al-Azhar, il fit la
> connaissance de Sheikh Ahmad `Îsâ `Âshûr, le
> président d’une association religieuse
> (Al-Jam`iyyah Ash-Shar`iyah). Cette association a
> construit de nombreuses mosquées en Egypte et
> recrutait des prédicateurs à des niveaux
> différents de leurs études dans Al-Azhar. Sheikh
> Ahmad `Âshûr encouragea vivement Sheikh `Abd
> Al-Hamîd pour qu’il entreprenne une carrière de
> prédicateur.
>
> Le prodigieux étudiant que fut Sheikh Kishk obtint
> son diplôme du cycle secondaire d’Al-Azhar à la
> fin des années 50. Pendant ses études au cycle
> secondaire, il était toujours le premier. A son
> examen de passage de la troisième à la quatrième
> année du cycle, il obtint un total de 100%.
> L’année du diplôme, il fut le premier de tous les
> étudiants d’Al-Azhar avec un total de 98.5%.
> Il s’inscrivit à la Faculté des Fondements de la
> Religion (Usûl Ad-Dîn). Dans son autobiographie,
> Sheikh Kishk cite Sheikh `Abd Al-Halîm Mahmûd
> comme un excellent modèle du professeur humble et
> au savoir profus.
>
> En 1962, une fois de plus, et malgré la difficulté
> latente pour trouver un lecteur pour l’aider,
> Sheikh `Abd Al-Hamîd fut le premier au classement
> pour le diplôme de fin d’études d’Al-Azhar. Chaque
> année, les majors de promotion étaient retenus
> pour enseigner à Al-Azhar. Mais l’année du Sheikh
> fut une exception : personne ne fut retenu. On lui
> assigna la mission de prédicateur dans une mosquée
> du Caire.
>
> Sheikh Kishk était un prédicateur très actif. Il
> fit de la mosquée un véritable centre d’éducation
> publique. Il dispensa, pratiquement tous les
> jours, des cours d’interprétation du Coran et il
> enseigna la vie du prophète, la jurisprudence et
> la théologie.
> Sa renommée était en constante croissance. Il
> raconte que la première fois où il fit le sermon
> du vendredi dans sa mosquée, l’audience ne
> constituait que deux rangs.
> Très vite, les cafés, les rues et les commerces
> devenaient déserts lorsque Sheikh Kishk donnait
> une leçon dans la mosquée, devant une audience
> sans cesse croissante. Il fut transféré à une
> grande mosquée du Caire, la Mosquée de `Ayn
> Al-Hayâh où sa renommée atteignit des sommets.
>
> Sheikh Kishk était caractérisé par un style unique
> et saisissant dans la prédication. Son éloquence,
> la force de sa voix, la beauté de son style, la
> sincérité de ses propos ouvraient les cœurs de
> l’audience. A son écoute, les cœurs débordaient
> d’émotion.
>
> En 1965, un messager du gouvernement lui demanda
> de déclarer publiquement que Sayyid Qutb était un
> apostat ! Sheikh Kishk, qui avait beaucoup de
> respect pour la pensée du martyr Sayyid Qutb, fut
> emprisonné pour avoir refusé l’ordre du
> gouvernement.
> A l’image de Sayyid Qutb, Sheikh Kishk ne
> craignait que Dieu, et il dénonça haut et fort les
> abus du gouvernement malgré les terribles tortures
> qu’il a subies pendant trois ans en prison. Sa
> tristesse fut énorme quand il apprit, depuis sa
> cellule de prison, l’exécution de Sayyid Qutb en
> 1966.
>
> Au début des années 70, les nombreux disciples de
> Sheikh Kishk commencèrent une tradition qui donna
> à la réputation du Sheikh une dimension nationale.
>
> Toutes ses leçons et tous ses sermons du vendredi
> étaient enregistrés sur cassettes. Ses cassettes
> étaient parfois distribuées de façon irrégulière.
>
> Mais à la fin des années 70, les cassettes de
> Sheikh Kishk étaient largement appréciées dans
> tout le monde arabe depuis le Maroc jusqu’aux pays
> du Golfe.
> Une grande partie de la communauté musulmane
> arabophone veillait à se procurer les cassettes de
> ses leçons, intitulées Madrasat Muhammad (A
> L’Ecole de Muhammad
>
> Sheikh Kishk avait l’habitude de s’impliquer, dans
> ses sermons et ses leçons, dans tous les problèmes
> liés la société. Il a lutté contre toutes les
> formes de déviance, d’inconduite ou d’abus.
> Il disait : « La chose que j’ai haïe le plus au
> monde, c’est l’injustice. »
> Il combattait les injustices en élevant haut sa
> voix avec le cri de vérité. Son comportement digne
> lui a pourtant valu de nombreux désaccords avec
> des membres du gouvernement...
>
> Ses écrits
>
> Sous la présidence d’As-Sâdât, qui voulait
> liquider toute opposition, Sheikh Kishk fut
> emprisonné une deuxième fois. Cette fois, son
> séjour en prison fut court et il retrouva la
> liberté après l’assassinat d’As-Sâdât. Suite à sa
> libération, il fut interdit de prédication. Il se
> retourna alors vers l’écriture d’ouvrages
> islamiques. Parmi ses écrits :
>
>
> Les voies du Salut
> Les jardins du Paradis
> L’éducation des âmes
> Ceux qui ont une âme apaisée
> La vie de l’être humain
> Des images de la grandeur de l’islam
> Une guidance pour le Serviteur
> La guérison des cœurs
> Des vérités concernant l’âme
> Un discours du cœur
> La prière, la couronne des cultes
> L’Islam et les principes d’éducation
> La guidance et la lumière
>
> Il a laissé de nombreux autres ouvrages avant que
> son âme réponde à l’appel de son Seigneur en 1996,
> pendant qu’il était prosterné dans sa prière.
>
> Que Dieu l’englobe dans sa Miséricorde et qu’Il le
> loge dans les hautes demeures du Paradis.
>
>
>
> wa salam aleikoum,
>
> Muslim Ibn Yassir rapporte que l'Envoyé de Dieu
> saws a dit :
>
> "Lorsque les larmes d'un homme lui montent aux
> yeux (par crainte d'Allah), Allah interdit son
> corps
>
> au feu, et lorsqu'une larme coule sur son visage
> il ne subira nulle poussière et nulle humiliation!
> Et si
>
> un homme pleure dans une communauté, ses membres
> recevront la miséricorde.
>
> Et toute chose peut être évaluée et mesurée sauf
> les larmes, car avec une larme on éteint des
>
> océans de feu."

Jazak ALLAH bi rihl oukhti pour le rappel de ce grand savant de l'Islam "Rahimou ALLAH"!

Quand on écoute ses sermons ( on a la chair de poule et larme à l'oeil)

Et n'oublions pas qu'à chaque fois qu'un savant de l'Islam s'éteint c'est comme une étoile du ciel qui s'éteint ! le jour où il y aura plus de savant de l'islam, il n' y aura plus de lumière ! ce sera la fin!


Wa ALLA Allam!

"La Ilaha Illa ALLAH wa MOHAMMED RassoulouLALLAH" Il n'y a de Dieu qu'ALLAH et MOHAMMED est son messager!
 
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