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louloutedelest a écrit:
Salam,
Vous vous en poser de drôle de questions, vous analyser tout comme ça dans le moindre détail dans votre tête?
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srnit a écrit:
Le problème que je trouve avec "Je te l'avais dit" c'est qu'il ne sert à rien.
Et je pense qu'il y a des enfants qui à force de l'entendre n'arrivent pas à construire leur propres décisions.
En gros, la peur du "Je te l'avais dit" qui leur créé l'angoise de prendre une décision en âme et conscience.
Les mots ont un poids.
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Nedjma13 a écrit:
Salam
Elle tue cette phrase
Je te l'avais dit de pas démissioner... J'étais si sûre de mon choix maintenant cette phrase me mets plus bas que terre.
: ) Citation
yassy37 a écrit:
Plus sérieusement,
Tout est question de dose ... et de contexte !
Des fois, pas besoin de le dire, au risque d'en rajouter...
Le regard de l'autre suffit... à sa peine.
D’autres fois, il est nécessaire de le rappeler.
Enfin, en dehors du cercle "intime", et de confiance,
souvent,
vaut mieux s'abstenir.
A quoi bon ça pourrait servir ?
alimenter les regrets de l'autre ? montrer qu'on avait raison ?...
Je ne dirais, tout même, pas la même chose quand le contexte est professionnel...
Quand nos alertes restent sans réponse ou pire encore, ignorées sciemment.
Là c'est un devoir d'agir en commençant pas rappeler les "avertissements" ...
passés ... sous silence.
Dans ce cas, la règle est celle-ci (pour moi) :
quand le fautif est "un fort" ou qu'il croit l'être, il est plus que nécessaire, de lui "rappeler" sa "connerie".
Si c'est un collègue ou un jeune, la clémence doit être de mise...
On a tous été un jour jeune et ... con
Bonne journée... les gens
PS : prochaine dissertation "Que dites-vous après avoir dit Bonjour"
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