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kamel848 a écrit:
Salam aalikoum wa rahmatullah iwa barakatuh :
- Pour ce qui est des films pornographique, il n'y a même pas besoin de se renseigner ou de débattre là dessus, c'est haram. Comment est ce qu'on peut se permettre d'avoir des doutes là dessus ? Regarder des personnes faire l'amour que ce soit à la télévision, sur internet ou par la fenêtre (les voisins, voyeurisme)
- Pour ce qui est de la fellation aucun passage dans le coran ne mentionne si c'est pêché ou pas, ce qui est certain c'est que le liquide qui découle de l'organe génital de l'homme est impur donc son contact avec la bouche de la femme est fortement déconseillé, mais à partir du moment où elle évite ce liquide et qu'il y a un consentement entre les époux, je ne vois pas le mal.
- La sodomie est par contre haram
- La masturbation est également déconseillé (selon certains savants, là aussi les avis divergent)
Voilà je me suis basé sur des recherches pour donner ces réponses, j'espère qu'elles vous satisferont, wa allah o 3alem
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zouitina a écrit:
Il faut également rappeler que les sources musulmanes enseignent que la satisfaction sur le plan intime n'est pas seulement un des droits du mari, mais également un des droits de l'épouse (Tahrîr ul-mar'a, tome 6 pp. 232-233, où est cité le propos de Ibn Taymiyya sur le sujet). Ici, il faut souligner qu'il ne faut pas négliger les préliminaires (at-tajammul et al-mudâ'aba) avant les relations intimes (cf. Zâd ul-Ma'âd, Ibn ul-Qayyim, tome 4 p. 253). Or, ce point doit faire l'objet d'une attention toute particulière de la part du mari, car l'homme et la femme ne vivent pas leur sexualité de la même manière. L'homme considère que les préliminaires sont quelque chose à faire le plus rapidement possible pour passer ensuite à ce que lui considère être l'essentiel.
Alors que pour la femme, tout est essentiel, et surtout les préliminaires. Bien plus que cela, la femme, pour pouvoir se donner à son mari, doit faire l'objet de l'attention et de la gentillesse de celui-ci toute la journée. Si le mari estime pouvoir avoir une relation intime avec sa femme malgré le fait qu'il la délaisse tout le temps, il se trompe lourdement. En fait, alors que pour l'homme, la sexualité est beaucoup plus physique, la femme ne peut se donner à son mari que si elle se sent bien avec lui, si elle s'estime en sécurité auprès de lui, si elle y est prête psychologiquement. Le mari doit donc s'efforcer de tenir compte de ce point important.
Toujours en ce qui concerne les principes, nous aimerions également rappeler que le Prophète (sur lui la paix) a recommandé qu'on prononce le Nom de Dieu avant les relations intimes ("Bismillâh, allâhumma jannib'na-sh-shaytâna wa jannib-ish-shaytâna mâ razaqtanâ"(rapporté par al-Bukhârî et Muslim). Ce fait de prononcer, avant tout acte de bien, le Nom de Dieu (par la formule bien connue "En prenant le Nom de Dieu"
permet entre autres de se rappeler qu'Il est Présent et d'acquérir la bénédiction liée à Son Nom (puisqu'en islam, il n'y a pas de prêtre qui accorderait la bénédiction au nom de Dieu).
Il faut aussi rappeler que le Prophète a déclaré qu'après des relations intimes, le bain complet (ghusl) est obligatoire sur les deux partenaires avant qu'ils puissent faire une prière (salât) (les Hadîths sont bien connus à ce sujet).
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karmaboss a écrit:Citation
zouitina a écrit:
Il faut également rappeler que les sources musulmanes enseignent que la satisfaction sur le plan intime n'est pas seulement un des droits du mari, mais également un des droits de l'épouse (Tahrîr ul-mar'a, tome 6 pp. 232-233, où est cité le propos de Ibn Taymiyya sur le sujet). Ici, il faut souligner qu'il ne faut pas négliger les préliminaires (at-tajammul et al-mudâ'aba) avant les relations intimes (cf. Zâd ul-Ma'âd, Ibn ul-Qayyim, tome 4 p. 253). Or, ce point doit faire l'objet d'une attention toute particulière de la part du mari, car l'homme et la femme ne vivent pas leur sexualité de la même manière. L'homme considère que les préliminaires sont quelque chose à faire le plus rapidement possible pour passer ensuite à ce que lui considère être l'essentiel.
Alors que pour la femme, tout est essentiel, et surtout les préliminaires. Bien plus que cela, la femme, pour pouvoir se donner à son mari, doit faire l'objet de l'attention et de la gentillesse de celui-ci toute la journée. Si le mari estime pouvoir avoir une relation intime avec sa femme malgré le fait qu'il la délaisse tout le temps, il se trompe lourdement. En fait, alors que pour l'homme, la sexualité est beaucoup plus physique, la femme ne peut se donner à son mari que si elle se sent bien avec lui, si elle s'estime en sécurité auprès de lui, si elle y est prête psychologiquement. Le mari doit donc s'efforcer de tenir compte de ce point important.
Toujours en ce qui concerne les principes, nous aimerions également rappeler que le Prophète (sur lui la paix) a recommandé qu'on prononce le Nom de Dieu avant les relations intimes ("Bismillâh, allâhumma jannib'na-sh-shaytâna wa jannib-ish-shaytâna mâ razaqtanâ"(rapporté par al-Bukhârî et Muslim). Ce fait de prononcer, avant tout acte de bien, le Nom de Dieu (par la formule bien connue "En prenant le Nom de Dieu"
permet entre autres de se rappeler qu'Il est Présent et d'acquérir la bénédiction liée à Son Nom (puisqu'en islam, il n'y a pas de prêtre qui accorderait la bénédiction au nom de Dieu).
Il faut aussi rappeler que le Prophète a déclaré qu'après des relations intimes, le bain complet (ghusl) est obligatoire sur les deux partenaires avant qu'ils puissent faire une prière (salât) (les Hadîths sont bien connus à ce sujet).
Je ne savais pas qu'il fallait dire Bismillah avant un acte sexuel...
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a écrit:
Jâ bir (que Dieu soit satisfait de lui) a dit : Les juifs pré tendaient que quand l'homme entreprenait des rapports charnels avec sa femme (à travers son vagin mais) en se tenant derriè re elle, l'enfant, fruit de cette union, sera louche. C'est pourquoi ce verset fut ré vé lé : {Vos é pouses sont pour vous un champ de labour (lieu de productivité comme le champ) allez à votre champ comme (et quand) vous le voulez...} (Mouslim n° 2592)