Comment te dire comment t'avouer que lorque tu approches mon coeur s'affole lorsque je t'aperçois j'ai l'impression de voler je voudrais te parler de mes pensées mais ma timidité m'en empêche je souffre de ne pas oser te dire que je te trouves trés belle, gentille intelligente je ne te demande rien juste de prendre le temps de se connaitre de s'apprécier percer le mystère de tes jolis yeux verts te voir sourire est le plus grand des plaisirs.
Je n'ai rien que des mots, Pour effacer tes mauvais souvenirs, Pour enlever ta douleur, Et pour enrayer tes pleurs. Mais je peux t'ouvrir mon cœur, Et espérer qu'il t'apportera le bonheur.
Je n'ai rien que des mots, Pour te dire ce que je ressens, Que des boutades d'affection et de tendresse, Exprimés avec sincérité et gentillesse, Pour la plus magnifique des femmes, devenu ma déesse.
Je n'ai rien que des mots, Pour te prouver mon amour, Mais un jour viendra, Ou je te prendrai dans mes bras, Je te serrerai contre moi, Et nous ne ferons que fusion, Avec intensité et passion.
Je n'ai rien que des mots, Pour te faire l'amour, Mais un jour viendra, Ou sur un lit de roses, nos cœurs s'émerveilleront, Et du soir jusqu'au matin, Je te ferai vivre tous les frissons, De tout ce temps perdu.
Je n'ai rien que des mots, Pour te prouver que je t'aime, Rien que mon cœur à t'offrir en cadeaux. Mais un jour viendra, Ou nous ne ferons que fusion, Et mon cœur sera à jamais que pour toi.
J'ai beau faire pour ne pas y penser Il me semble sentir ton parfum La musique que nous écoutions n'est jamais loin Et d'autres accompagnent ma mélancolie Je n'y peux rien, tu es partie. Je devrais oublier les mots Ne plus penser qu'à demain Essayer de prendre la vie comme elle vient Pour mieux vivre, oublier ce qui me fait souffrir Mais je suis peut être faible De croire que j'ai perdu bien plus Qu'une simple amourette sans lendemain Sans que je sache pourquoi Mais je n'y peux rien, tu es partie Quelle est cette tristesse qui m'accompagne Comment passer des nuits tranquille alors que mon corps t'apelle Comment ne plus souffir, oublier ces instants de grâce forts et intenses Quelle est cette envie de te rencontrer au coin d'une rue Te reparler alors que mon esprit te hait tant Essayer, peut être, comme si j'avais encore une chance Mais je n'y peux rien, tu es partie J'aurais envie d'abandonner, d'oublier cette absence L'hiver est proche, rigoureux et bien plus froid que mon coeur et mon corps Je sens déjà, chaque nuit, à quel point tu me manques Je me glisse dans les draps froids en pensant à toi Sans doute es tu déjà avec un autre, Suis-je oublié parmis tous les autres J'aurais tant aimé laissé un souvenir si impérissable Pour que ce soit toi qui saigne de ton choix Mais je n'y peux rien, tu es partie.
bravo a tous je suis nouvelle et j'ai adoréé ts vos poème moi je dédie celui la a celui ke j'aime: Tous les jours je te le redirais je t'aime de tout mon coeur et je ne cesserai jamais de t'aimer
Ne me quitte pas Il faut oublier Tout peut s'oublier Qui s'enfuit déjà Oublier le temps Des malentendus Et le temps perdu A savoir comment Oublier ces heures Qui tuaient parfois A coups de pourquoi Le coeur du bonheur Ne me quitte pas Ne ma quitte pas Ne ma quitte pas Ne me quitte pas Moi je t'offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas Je creuserai la terre Jusqu'après ma mort Pour couvrir ton corps D'or et de lumière Je ferai un domaine Où l'amour sera roi Où l'amour sera loi Où tu seras reine Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je t'nventerai Des mots insensés Que tu comprendras Je te parlerai De ces amants-là Qui ont vu deux fois Leurs coeurs s'embraser Je te raconterai l'histoire de ce roi Mort de n'avoir pas Pu te rencontrer Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
On a vu souvent Rejaillir le feu D'un ancien volcan Qu'on croyait trop vieux Il est paraît-il Des terres brûlées Donnant plus de blé Qu'un meilleur avril Et quand vient le soir Pour qu'un ciel flamboie Le rouge et le noir Ne s'épousent-ils pas
Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je ne vais plus pleurer Je ne veux plus parler Je me cacherai là A te regarder Danser et sourire Et à t'écouter Chanter et puis rire Laisse-moi devenir L'ombre de ton ombre L'ombre de ta main l'ombre de ton chien même Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas.
Vois Habibati ! Auteur: lahla yakess amor (IP enregistrée) Date: le 13 juin 2005 à 23h05
Vois habibati le temps a passé le reste aussi Et toi Habibati Tu es toujours la reine de mes pensées Je te l'ai déjà dit Je te l'ai déjà écrit
Mais le temps a passé Le reste aussi Et vois aujourd'hui Habibati Je te le redis encore comme hier Hier Il ya quelques années Une trentaine d'années
Vois comme le temps a passé Et le reste aussi Mais houbbi laki lam yanntahi Vois mon coeur Comme je t'aime encore J'en mélange les langues Et les lettres Mais pas l'esprit
Tu es la reine de mes pensées Etais-je sincère ? Oui je le crois Puisque je le suis encore aujourd'hui
Vois habibati Ma moitié ma chérie comme le temps a passé Le reste aussi Et pourtant Pourtant pourtant Tu es encore là Comme hier Il y a quelques années Une trentaine d'années Ce matin encore Que dis-je Tout-à-l'heure Non il y a un instant Un instant ? Tous les instants ! Chaque instant Tu es là avec moi Dans ma tête Dans mes pensées Dans mes souvenirs Dans mon coeur Dans mon corps Quand je mange Quand je bois Quand je vais Quand je viens Quand je dors Quand je rêve Tu es la Reine de mes pensées
Vois habibati comme je t'aime. Wold Weecha
"Monde ! Prend garde Monde ! Des océans de larmes se forment! Quand les digues lâcheront Tu seras inondé."
des poèmes d'amour ! des poèmes pour rêver ! des poèmes tout court ! des poèmes pour sauver ! l'âme, la tête, le corps et le coeur ! la femme, l'homme, l'animal oui l'animal l'être ! ah ! l'être !
des poèmes d'amour ! des poèmes pour flotter ! des poèmes tous pour ! des poèmes pour sauter ! de joie, de bonheur,
où êtes-vous mes fidèles d'entre les fidèles ! nabilla-eau-de-rose, rifia, moh tsû,princdurif ! et j'en passe, et j'en oublie c'est pas kif-kif !
ah ! je me meurs sans vous ! où êtes-vous ! des poèmes d'amour ! encore et toujours ! des poèmes pour rêver ! des poèmes pour se sauver !
Vois Habibati ! Auteur: lahla yakess amor (IP enregistrée) Date: le 13 juin 2005 à 23h05
Vois habibati le temps a passé le reste aussi Et toi Habibati Tu es toujours la reine de mes pensées Je te l'ai déjà dit Je te l'ai déjà écrit
Mais le temps a passé Le reste aussi Et vois aujourd'hui Habibati Je te le redis encore comme hier Hier Il ya quelques années Une trentaine d'années
Vois comme le temps a passé Et le reste aussi Mais houbbi laki lam yanntahi Vois mon coeur Comme je t'aime encore J'en mélange les langues Et les lettres Mais pas l'esprit
Tu es la reine de mes pensées Etais-je sincère ? Oui je le crois Puisque je le suis encore aujourd'hui
Vois habibati Ma moitié ma chérie comme le temps a passé Le reste aussi Et pourtant Pourtant pourtant Tu es encore là Comme hier Il y a quelques années Une trentaine d'années Ce matin encore Que dis-je Tout-à-l'heure Non il y a un instant Un instant ? Tous les instants ! Chaque instant Tu es là avec moi Dans ma tête Dans mes pensées Dans mes souvenirs Dans mon coeur Dans mon corps Quand je mange Quand je bois Quand je vais Quand je viens Quand je dors Quand je rêve Tu es la Reine de mes pensées
Vois habibati comme je t'aime. Wold Weecha
"Monde ! Prend garde Monde ! Des océans de larmes se forment! Quand les digues lâcheront Tu seras inondé."
Auteur: nabilla (IP enregistrée) Date: le 14 juin 2005 à 11h45
Si je savais…
Si je devais te dire je t’aime Où que s’endort l’astre de nos vies Vais-je pouvoir l’écrire en poème Pour qu’à ton cœur je sois au parvis ?
Mais lorsque je croise ce regard Qui quelque fois se dérobe au mien Ma voix n’est plus qu’un pâle brouillard Et ma plume a perdu son chemin.
Si je savais te dire je t’aime Ton ombre brûlerait-il mon âme Mes sourires deviendraient-ils bohèmes Quand je croise ton regard de femme ? J’avais su jadis être cet homme Qu’un cœur à gravir n’est que colline Mais sur ta peau mon courage comme Un déserteur au loin se devine.
Et si je devais hurler je t’aime Saurais-je te prendre dans mes bras Telle une caresse que l’on sème Quand la tendresse est mon seul combat ?
Mais légèreté devient carence Quand l’esprit plie sous le poids des doutes Seul mon cœur garde en lui l’arrogance De rêver de construire notre route.
Mais je ne sais pas te dire je t’aime Lorsque tu veux t’approcher de moi Et mon angoisse est toujours la même Que tu saches combien tu es ma loi. Je ne te prouverais pas que je t’aime Mes mots ne sont pas doués pour cela Mais j’ai écris mon plus beau poème En suivant le sillon de tes pas.
Que de l'amour Et du bel amour Thanatos n'a qu'à bien se tenir Servi comme je suis Je n'en ferai qu'une bouchée Eloigne-toi Tristesse Eloigne-toi Douleur Eloigne-toi Passé D'une vie Même d'une demi-heure D'une nuit Ou de toute-à-l'heure Eloigne-toi Souvenir Sauf de celui Que je respire Va-t'en Thanatos Eros tout-puissant Butinant ici ou là Ces je t'aime A longueur de poèmes Lui aussi sème l'amour est le même Dans son coeur Comme dans celui De sa fidèle Je t'aime.
Je l'ai rencontrée sans pour autant la voir ! Elle était à côté de moi comme dans le noir, Quand moi, de mes pauvres lumières, en éclairé, J'essayais de comprendre celle qui m'avait quitté.
L'amour rend aveugle et il m'a laissé des regrets, Faisant un pas en arrière quand elle me regardait ! J'étais trop juste, peut-être timide voire lâche, Pour la trouver amoureuse dans ce jeu de cache cache.
J'ai ruiné mes années à la chercher toujours au loin, Croyant de le bonheur rare était au bout du chemin, Du destin qui trace les routes, fait de petits riens, De joies, de chagrins créant la vie du lendemain.
Je cherchais ailleurs alors qu'elle était à mes côtés, Et cela depuis le début ! J'ai rien vu, aveuglé Par la convoitise, le goût de l'aventure, de l'épopée, Solitaire le jour, homme la nuit, pour la retrouver !
Je la remercie d'avoir su me trouver et me consoler, Me montrant la bonne route, suivant le ciel étoilé Que j'ai découvert dans ses yeux brillant de mille feux, Quand les anges agitent les cloches pour nous deux.
Môh Tsu Le 26/06/2006
Modifié 2 fois. Dernière modification le 03/07/06 16:59 par Moh Tsu.
Beaux yeux, parlez-moi de votre maîtresse ! Pourquoi êtes-vous remplis de tant de tristesse ? Pourquoi sa démarche est faite de peu de grâce, Qu'elle traîne son corps avec ses maladresses ?
Dites-moi pourquoi au détour d'un couloir, Je vous ai vus humides, ce beau jour ? Interrogez son âme et officiez comme un miroir Pour me réveler ses vérités, ses secrets de son Histoire !
Je veux tout savoir d'elle, de ses états d'âmes, Ses bonheurs, ses drames, son caractère de femme. J'aimerais l'entretenir pour pouvoir sécher ses larmes... Transformer son univers noir en espace calme...
Vous qui voyez tout, qui parlez sans arrêt ; Dîtes-moi si j'ai une chance de lui parler... Sans qu'elle vous détourne de moi, gênée, égarée... Et gardant en elle sa peine, toujours enfermée ?
Môh Tsu Le 06/05/2006
Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/07/06 16:58 par Moh Tsu.
À cette époque je baignais dans une atmosphère de liberté Un laisser aller qui me comblait.. Tout était à créer, inventer au sommet de l'été.. Plus rien ne se produisait : tu m'avais manqué...
Tu es passé à côté en larmes dans ta robe feutrée Venue fêter à ta manière les noces de la mariée... J'étais pas encore né ou mûr pour te promener, Enmener au sommet qu'on atteint une fois soudés.
J'ai fais la promesse d'essayer une fois retraité De rattraper ce jour de ce rendez-vous manqué... Cela m'a marqué et j'y pense comme jamais, Au quotidien qui du tout ou rien aurait pu changer
L'atmosphère était bonne, enfantile et décalée... J'aime respirer la nostalgie de cet amour d'été... Repensé, nouveau né, nouvel homme, à tes côtés, Mais loin de moi qu'un âge aurait pu tout changer.
Môh Tsu Le 27/05/2006
Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/07/06 17:06 par Moh Tsu.