2,3% des migrants qui ont déposé une demande de régularisation ont finalement obtenu une carte de résident, a révélé hier un séminaire sur l’intégration sociale des migrants. Le processus est encore long et rencontre plus d’une difficulté.
Les militants des droits de l’homme saluent la décision du Conseil du gouvernement d’adopter le projet de loi modifiant le fonctionnement de la justice militaire au Maroc. Bientôt, les civils ne pourront plus être jugés devant le tribunal militaire.
Une députée néerlandaise accuse le Maroc de manquer de respect au gouvernement des Pays-Bas parce qu’il bloque depuis 3 ans la renégociation de l’accord de sécurité sociale entre les deux pays. Le gouvernement néerlandais envisage même d’y mettre fin.
Branle bas de combat en Suisse. Après le vote de l’initiative contre l’immigration de masse, patronat, société civile, élus tentent de résoudre la quadrature du cercle : mettre en œuvre l’initiative en ne touchant à rien.
Pour la première fois, le gouvernement marocain s’engage à prendre en charge les billets d’avion de 1000 migrants qui choisiront de rentrer dans leur pays d’origine dans le cadre du programme d’aide au retour volontaire de l’OIM. Exceptionnel, ce financement représente le quart du financement total du programme. Lequel n’est pas assuré.
Le parti travailliste (PvDA) néerlandais au pouvoir depuis 2012 a déçu les Marocains qui pourraient le sanctionner lors des élections municipales du 19 mars prochain. Parti ‘naturel’ des immigrés, il rassemble pourtant encore la plus forte proportion d’élus maroco-néerlandais.
Deux chercheuses sont arrivées à des conclusions a priori contradictoires sur la situation des Marocaines émigrées, dans l’ouvrage paru en début d’année, «Mobilités au féminin : La place des femmes dans le nouvel état du monde». Pour l’une, elles vont de Charybdes en Scylla, pour l’autre, elles affirment leurs choix avec force. Explications.
Contrairement à ce que l’on croit, les grandes découvertes de fossiles au Maroc ne sont pas toujours faites par des équipes de paléontologues, mais surtout par des ramasseurs de fossiles. Entre les deux, une relation complexe mélangeant haine et nécessité, s’est mise en place.
Le professeur Hassan Aouraghe est en colère : il voit d’année en année le patrimoine paléonthologique marocain pillé, volé, vendu ou détruit. Dans le cadre du mois du patrimoine, le responsable du Musée universitaire d'archéologie et du patrimoine de l'université d'Oujda co-organise du 15 au 17 mai à la faculté de sciences d’Oujda un colloque pour réfléchir à une
Nacira Guénif était hier au SIEL de Casablanca pour débattre du racisme au Maroc. Yabiladi a profité de l’occasion pour interroger cette ethno-sociologue, professeure en Sciences de l’éducation, à Paris VIII, sur ‘la journée de retrait’ à laquelle de nombreux parents immigrés ont participé suite à la mise en place de "l’ABCD de l’égalité" en France pour promouvoir