Au Nigéria, les opposants à l’admission du Maroc à la CEDEAO poursuivent leur campagne de mobilisation. Néanmoins, le royaume a désormais l’appui de l’une des personnalités les plus influentes du pays : l’émir de Kano, un adepte de la Tariqa Tijania et ancien gouverneur de la Banque centrale.
Après des semaines de silence, l’Union européenne clarifie sa position sur la participation du Polisario au sommet UA-UE. Bruxelles affirme, en vue de lever toute ambiguïté autour de sa présence à Abidjan, que les Vingt-huit ne reconnaissent toujours pas la «RASD».
Après une accalmie passagère sur l'opposition PJD-PAM, voilà que reprennent les hostilités. Cette fois c’est la politisation des succès des Lions de l’Atlas et du WAC qui ont mis le feu à la poudrière. Même l’Istiqlal, pourtant classé dans l’opposition au même titre que le PAM, a pointé son artillerie en direction des positions du Tracteur.
L’armée a pris le pouvoir au Zimbabwe. Robert Mugabe a confié à son allié Jacob Zuma qu’il est «détenu». Ce coup d’Etat met un terme au plan du dictateur nonagénaire de placer son épouse à la tête du pays. Au Maroc, la sortie par la petite porte de Mugabe ne peut être qu’une bonne nouvelle.
Le gouvernement a finalement retiré du projet de loi de finances 2018 (PLF 2018) la proposition d’augmenter de 4% la TVA sur les produits pétroliers à la pompe. Hier au sein de la commission des finances à la Chambre des représentants, Mohamed Boussaïd, ministre de l’Economie et des finances, n’a pas brandi l’article de la constitution pour mettre en sourdine les protestations des députés. En effet, des groupes
Au fil des jours, le PJD s’enfonce davantage dans la crise. Les divisions autour du 3e mandat de Benkirane sont désormais criantes. Le secrétariat général a refusé d’accorder quatre années supplémentaires à l’ancien chef du gouvernement.Mais celui-ci ne s’avoue pas vaincu...
A Doha, le roi Mohammed VI a-t-il porté une écharpe portant l'inscription «Vous avez le monde et nous avons Tamim» ? Comme une trainée de poudre, la «photographie» a été largement partagée sur les réseaux sociaux par des citoyens qataris tout heureux. Et pour cause, le message écrit sur le bout de tissu est hautement politique. Il est adressé directement aux quatre Etats arabes (Arabie saoudite, Emirats
Cet après-midi à l’occasion de la session hebdomadaire des questions orales à la Chambre des conseillers, le ministre des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, a endossé le costume d’avocat pour plaider le bilan des droits de l’homme du Maroc. En réponse à une question du groupe PJD, Mustapha El Khalfi a refusé d’admettre la présence de détenus politiques dans les prisons du royaume.
L’accord de Madrid du 14 novembre 1975 n’était pas uniquement conclu entre l’Espagne, la Mauritanie et le Maroc, une quatrième partie avait pris part aux négociations à savoir la «Jamaâ sahraouie». 42 ans plus tard, une nouvelle forme de la «Jamaâ sahraouie» pourrait permettre au Maroc de contourner l’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 décembre 2016.
A l’issue de sa réunion tenue le 12 novembre, le secrétariat général d’Annahj Addimocrati a mis en garde contre la «poursuite des plans destructeurs de l’Arabie saoudite au Moyen-Orient, soutenus en cela par l’impérialisme et le sionisme». La formation d’extrême gauche a qualifié les récents développements sur la scène politique saoudienne de «coup d’Etat». En