La promotion par le PJD de sa nouvelle image d’un parti ouvert atteint ses limites. Après les déclarations de Mme Hakkaoui et M. Ramid sur l’affaire Amina Hilali, voilà que la participation d’un diplomate israélien à une réunion à Rabat a amener les députés de la Lampe à la boycotter.
Entre le Maroc et l’Espagne, le problème des frontières maritimes et terrestres est un sujet de tension récurrent. Madrid vient de souffler sur les braises d’un conflit vieux de quelques années, sur les prospections du pétrole aux Iles Canaries. C’est le remake d’un film mis en scène, en 2001, par José Maria Aznar, et cette fois c’est, son disciple, Mariano Rajoy qui est aux commandes.
Retour à la case départ. Les relations maroco-algériennes renoue avec leur légendaire statut-quo. Point de normalisation en vue. L’euphorie des premiers jours suscitée par la visite de Saâdeddine El Otmani à Alger, janvier dernier, notamment chez la partie marocaine, vient de céder du terrain.
Le gouvernement entend donner un tour de vis au droit des grèves. La multiplication des débrayages dans la fonction publique est à l’origine de cette initiative.
Nouveaux rebondissements dans l’affaire du jeune marocain sorti tétraplégique suite à son passage, le 1er mars, dans un commissariat de Guadalajara. Vendredi, des Marocains résidents en Espagne, dont des amis de Abdellah El Asli, ont tenu devant le même centre de police un sit-in dénonçant la version, peu convaincante, du sous-délégué du gouvernement espagnol à Guadalajara, estimant que le
Le coup d’Etat au Mali intervient dans un contexte particulier. Un chamboulement qui profite à la criminalité transnationale et aux groupes terroristes dans la zone sahélienne. L’Algérie risque d'être impactée par cette nouvelle configuration d'un point de vue sécuritaire.
Le Printemps arabe a fait place à la montée du discours islamiste. Le Maroc n'échappe à la règle. Un nouveau parti salafiste, mené par Mohamed El Fizazi, est dans les starting-blocks.