Le monde associatif amazigh au Maroc est agité par l’arrivée d’un nouveau venu. Une entité qui se veut fédératrice de toutes les ONG défendant la cause amazighe. Un pari qui semble difficile. Ses revendications demeurent pour le moment dans le giron culturel et n’aborde pas le volet politique.
La question de la fuite des capitaux est un sujet assez récurrent au parlement marocain. Le ministre du Budget, Idriss Azami, a évoqué une somme de quatre milliards de dollars qui serait sortie illégalement du Maroc.
De petites formations politiques algériennes tentent, à leur manière et selon la limite de leurs pouvoirs, une médiation entre Rabat et Alger. Une tentative qui a peu de chance de réussite.
Le gouvernement espagnol semble être impatient de connaitre l’issue des recherches marocaines de pétrole en face des Iles Canaries. Par contre, pour la présidence de cette communauté autonome, hostile à toutes les prospections d’hydrocarbures, c'est l'inquiétude qui s'exprime.
Hier, le président des eurodéputés socialistes s’est prononcé en faveur du protocole de pêche. Mieux, il a affirmé que son groupe n’allait pas aider «les Sahraouis en rejetant l’accord». Quelques jours auparavant, les services juridiques de l’UE ne voyaient aucun obstacle légal pouvant interdire cet accord.
Deux mois après que le palais royal de Casablanca a abrité une réunion sur la politique migratoire, la régularisation des sans-papiers va être mise sur les rails. Entre 24 et 40 milles personnes devraient bénéficier de cette opération.
Ce matin au parlement, à la commission des Finances, et contrairement aux jours précédents, ce n’était pas la grande affluence. Sur l’agenda de cette commission figurait, l'étude du budget du palais royal.
Au Maroc, la traque de la cybercriminalité est du ressort de la Direction générale de la police. Mais ce n’est apparemment plus la seule entité à s’occuper de cette question, puisque l’armée s’y est mise également.
C’est dans une ambiance électrique que s’est déroulée, dimanche et jusqu'au matin de ce lundi, l’assemblée générale de la Fédération royale marocaine de football. Le successeur de Ali Fassi Fihri est, désormais connu, c’est Faouzi Lakjaâ. Les meubles sont sauvés. Le Maroc évite, ainsi, les sanctions de la FIFA.
Les indicateurs économiques marocains sont dans le rouge. Le gouvernement a opté pour le gel de tous les projets d'investissements jusqu’à la fin de cette exercice. Une mesure décidée directement par Benkirane et non en conseil de gouvernement, comme c’était le cas lors de la première réduction d’avril dernier. En une année, cette équipe à «économiser» 25 milliards de dirhams.