Après plus d’une semaine de silence, le PJD a fini par réagir à l’établissement des relations entre les Emirats arabes unis et Israël. Le parti de Saad-Eddine El Othmani a saisi la commémoration du 51e anniversaire de l’incendie de la mosquée Al Aqsa, survenu le 21 août 1969, par l’Australien Denis Michael Rohan, pour aborder indirectement l’accord du 13 août 2020. «L'établissement
Face à la propagation galopante de la pandémie du coronavirus au Maroc, le roi Mohammed VI n’écarte pas la possibilité du retour au confinement total sur l’ensemble du territoire. Le souverain a également reconnu que l’appui financier de l’Etat aux démunis «ne peut continuer indéfiniment».
Le Maroc vient de donner une nouvelle preuve de sa solidarité avec l’opposition vénézuélienne. «Le Royaume du Maroc se joint aux Etats-Unis et le groupe des Etats pour soutenir le peuple vénézuélien dans ses efforts pour revendiquer ses droits», a écrit le 19 août le ministère des Affaires étrangères sur son compte Twitter. Une initiative immédiatement saluée par Julio
Les factions libyennes s'orientent vers la reprise des négociations à Rabat, dans les prochains jours. «Nous faisons confiance au Maroc», a déclaré Khaled Al Mechri, président du Haut Conseil d’Etat (Ouest).
Le Maroc a décidé de considérer les produits fabriqués à Melilla comme non-européens. La Confédération des entrepreneurs locaux a déjà tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences de la mesure. «La douane marocaine n'accepte plus le formulaire EUR-1, qui certifie l'origine européenne des marchandises, si la société exportatrice a son siège social dans la ville
Le Maroc porte un intérêt particulier au projet du vaccin chinois contre la pandémie du coronavirus. En témoigne la teneur de l’appel téléphonique entre Nasser Bourita et son homologue Wang Yi, révélée cet après-midi par l’agence officielle de presse chinoise. Le ministre des Affaires étrangères a affirmé que le gouvernement de Pékin «continuera à fournir une
Le Mali renoue avec les coups d’Etat. Celui opéré mardi 18 août par les membres du «Comité national pour le salut du peuple» se distingue des autres putschs par le soutien d’un mouvement de contestation civil qui réclame depuis plusieurs mois le départ du président Keïta et la dissolution du Parlement, analyse Ali Ansari, expert en affaires maliennes, dans une interview accordée à Yabiladi.
Au Mali, l’armée a obtenu le départ du président. Ibrahim Boubacar Keïta, en poste depuis les élections de 2013, a annoncé dans une déclaration télévisée diffusée dans la nuit du mardi à mercredi, sa démission, celle du gouvernement et la dissolution du Parlement. Hier, les militaires ont arrêté le désormais ancien chef d’Etat et son Premier ministre Boubou Cissé. Les
Le PJD dément catégoriquement les informations l’accusant de vouloir reporter les différentes élections prévues en 2021. «Ce sont de fausses nouvelles, sans fondement, des mensonges», a expliqué le n°2 de la Lampe, Slimane El Amrani, dans des déclarations au site internet de son parti. La semaine dernière l’hebdomadaire arabophone Al Ousboue a indiqué que le secrétariat général du
L'instabilité politique de ces derniers mois au Mali a encouragé les militaires à sortir des casernes. «Le président Ibrahim Boubacar Keïta et son Premier ministre, Boubou Cissé, ont été "arrêtés" aujourd'hui en fin d'après-midi à Bamako par des militaires en révolte», a affirmé à l’AFP un des chefs de la mutinerie. «Nous pouvons vous dire que le président