Le Maroc tente de sortir de sa tour d’ivoire, nuancer ses certitudes pour prendre un nouveau départ avec les pays ouest-africain.
Des drames naissent parfois de grands élans vers de grands projets.
L’association pour le droit et la justice au Maroc (ADJM) a récemment tenu une rencontre sur la spoliation immobilière. Malgré la présence de certains officiels, d’autres représentants invités sont restés absents. L’ADJM énumère les avancées, mais surtout les blocages, rencontrés dans l’éradication de ce fléau.
Secousse tellurique dans le monde géopolitique avec Paris comme épicentre. Un selfie tweeté pourra-t-il modifier la tectonique des relations stratégiques de la France dans le monde arabe ?
Et si la «conversion numérique» était un piège mortel pour les journaux ?, s’interrogeaient les fondateurs du magazine XXI dans un manifeste publié en 2013. Et si l’ecosystème numérique était le fossoyeur de la presse francophone au Maroc ?
Sommes-nous condamnés à reproduire les inégalités héritées ? Testament pour une société.
L’histoire est un grand présent, et pas seulement un passé, écrivait Alain.
L’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne est tombé, donnant lieu à des interprétations diamétralement opposées. Le Polisario et ses alliés jubilent, tandis que le Maroc et l’Union européenne tempèrent.
Taoufik Bouachrine, directeur de publication du journal Akhbar Al Yaoum, n’est pas encore sortie de sa garde à vue que déjà les avis sont tranchés, concernant les plaintes pour agressions sexuelles. Ces 48 heures d’emballement révèlent surtout des crispations profondes au sein de la société marocaine.
Ministrabilité rime avec responsabilité. Pourtant, Lahcen Daoudi, ministre depuis 2012, a accordé un long entretien rappelant ô combien il était irresponsable.