Un cadre juridique peu protecteur, aucune rémunération pour les jours non travaillés et l'absence de représentation syndicale, sans parler des conditions d’hébergement peu enviables dans certains cas. Telle est la situation des saisonnières marocaines en Andalousie. Une réalité que vient rappeler la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) à l’issue d’une mission
Sujet quasi tabou autrefois, la réouverture des frontières avec le Maroc commence à devenir un leitmotiv chez les dirigeants algériens. Après les informations faisant état de préparatifs pour une réouverture dans les prochains mois, c’est autour du ministre algérien de l’Intérieur de laisser entendre que cette éventualité est «très plausible» eu égard au réchauffement
Une simple phrase de Benkirane, et les voisins espagnols qui s’emballent. Lors de la présentation de son programme, le nouveau chef du gouvernement avait indiqué que le Maroc finira par exercer sa souveraineté sur ses territoires du Sud mais aussi ceux occupés du Nord, à savoir Sebta et Melilla. Suffisant pour secouer les voisins ibériques qui invitent le Maroc «à cesser de réclamer ce qui ne lui appartient pas» !
Abdelilah Benkirane, l’avocat des régimes islamistes. Le chef du gouvernement marocain, qui participe au Forum Economique de Davos (Suisse) a appelé les pays occidentaux à soutenir les régimes islamistes. De nouveaux régimes qui, dit-il, sont beaucoup plus capables de garantir les intérêts et investissements extérieurs que les régimes autoritaires.
Une réouverture des frontières maroco-algériennes dès mai prochain ? Affirmatif, à en croire un quotidien électronique algérien TSA (Tout sur l’Algérie). Une information que les autorités algériennes refusent de commenter pour le moment.
Une opération de démolition d’habitats anarchiques qui débouche sur de violents affrontements. Plusieurs agents des forces de l’ordre ont été blessés ce mercredi matin lors d’échauffourées avec les habitants d’un quartier qu’ils étaient venu démolir. La section locale de l’AMDH indexe le comportement des forces sécuritaires.
Le Maroc poursuit sa descente aux enfers dans le classement de Reporters Sans Frontières. Le rapport 2011-2012 publié ce mercredi 25 janvier, classe le royaume au 138e rang, soit un recul de trois places par rapport à l’année dernière. Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, compte sur la volonté de réformes du nouveau gouvernement pour inverser la tendance.
Saviez-vous que c’est grâce au Maroc que l’esclavage a connu, de fait, un terme en Espagne ? En effet, cela remonte à 1766, lorsqu’un ambassadeur du sultan de l’époque a racheté les esclaves musulmans dans tout le pays. Une action, nous dit un historien, qui figurait parmi les priorités des représentants des sultans à l’étranger.
Lors de la déclaration de politique générale devant le Parlement, le chef du gouvernement a tracé cinq axes pour répondre aux attentes de la Communauté marocaine résidant à l’étranger. L’objectif dit-il, est de défendre les droits des MRE, préserver leurs intérêts et renforcer leurs liens avec la mère-patrie. Mais en face des ces orientations, figurent de nombreux problèmes dont
En 2010, «la situation des droits humains au Maroc et au Sahara occidental était mitigé, voire médiocre à certains égards», constatait Human Rights Watch (HRW) dans son rapport 2011. Dans celui de 2012, l’organisation internationale parle d’un «bilan décidément mitigé» et invite le Maroc à mettre en œuvre les dispositions de la nouvelle constitution.