C’est une évidence, les relations entre le Maroc et l’Espagne ne sont pas toujours des meilleurs. Le plus banal des incidents peut provoquer une crise diplomatique entre ces deux royaumes voisins. Des relations fragiles que la presse espagnole ne manque jamais d’envenimer. Et ce, dans le mépris total des plus élémentaires règles éthiques et déontologiques du journalisme. Cette histoire de fausses déclarations
Une fois de plus, les médias espagnols se font avoir sur un sujet en rapport avec leur voisin marocain. Ces derniers jours, la presse espagnole a attribué une fausse déclaration au ministre marocain de la Culture. Dans une interview qu’elle dit tirer d’un site marocain, Nador City, la presse espagnole fait dire à Bensalem Himmich que le Maroc réclame à l’Espagne le partage des recettes générées par les visites du
La ville de Colmenar Viejo, située à une trentaine de kilomètres de Madrid, a été hier le théâtre d’un règlement de comptes entre immigrés marocains et sud-américains. A l’origine de ces accrochages qui ont fait des blessés et causé des dégâts matériels, un Marocain poignardé dans une bagarre.
Une décision du Conseil belge du contentieux des réfugiés provoque une levée de boucliers du parti Mouvement réformateur. Un député de cette formation de la droite (et du centre-droit) trouve «inacceptable» que ce Conseil puisse accorder le statut de refugié à un Marocain déjà emprisonné dans le pays pour terrorisme.
Après Rachid Niny du quotidien «Al Massae», d’autres responsables de journaux arabophones risquent de se retrouver devant la justice : il s’agit des directeurs de publications, rédacteurs en chef et journalistes des hebdomadaires «Al Michaal» et d’ «Al Oussboue Assahafi». Ils sont poursuivis après avoir publiés des informations sur l'intervention supposé dans la nomination des walis et des gouverneurs
L’Office Chérifien des Phosphates (OCP) domine son environnement international en matière d’exportations de phosphates et produits dérivés. Mais au niveau national, le leader mondial a du mal à assurer une cohabitation pacifique avec les populations riveraines de ses installations dans certaines régions du Maroc. De Khouribga à Safi, point sur la tempête sociale qui entoure l'OCP.
Le gouvernement canadien a lancé une véritable traque contre les immigrés illégaux. 1800 citoyens canadiens d’origine étrangère sont dans le collimateur des autorités, qui les accusent d’avoir frauduleusement acquis la nationalité canadienne. Ils devront tous être déchus de leur nouvelle nationalité. 30 d’entre eux, soupçonnés d’être des criminels de guerre sont activement
Venant de Jamel Debbouzze ou de Gad El Maleh, ça peut passer, mais d’un responsable politique, cela devient «intolérable». Et Gilbert Garelli, vient de le savoir à ses dépens. Lundi dernier, premier jour du Ramadan, cet élu UMP de La Colle sur Loup, petite commune des Alpes-Maritimes (Sud-est de la France) a envoyé un mail à ses «amis» politiques sur la préparation d’une réunion de leur formation.
La ville de Safi a été le théâtre de véritables scènes d'affrontements ce lundi (1er août), entre les forces de l’ordre et des manifestants. On dénombre des dizaines de blessés des deux côtés. A l’origine de ces accrochages, une manifestation des enfants de retraités de l’Office chérifien des Phosphates (OCP) qui exigent d’être embauchés par la première entreprise
Après la France et la Belgique, l’Italie s’apprête à son tour à interdire le port du voile intégral dans les lieux publics. Une commission parlementaire a fait un premier pas dans ce sens, en attendant que le parlement se prononce en septembre. A l’origine de ce texte, Souad Sbaï, une députée italienne de droite d’origine marocaine.