Un litige très complexe oppose les musulmans de Fives (un quartier de Lille) aux propriétaires et bailleurs d’un foyer pour immigrés qui comprend une «salle de prière». Cette salle de prière au départ, est communément appelée «mosquée de Fives» par les fidèles de la ville qui viennent y prier. Mais voilà que des travaux de rénovation du foyer sont prévus, et le bailleur
La rencontre, le week-end dernier, entre Mohamed Ameur et les Marocains de Bruxelles avait les allures d’une assemblée générale de grévistes. Le désordre était à son comble. Le ministre était venu présenter les avancées de la nouvelle constitution, mais dans l’assistance, tout le monde n’était pas convaincu.
En France, les entreprises spécialisées s'arrachent les déchets, l'industrie du recyclage est organisée jusqu'au dernier détail. Loin s'en faut au Maroc, où les ramasseurs d'ordures forment toujours le début de la chaîne, gardant ce qui les intéresse et jetant le reste par terre. Pourtant le secteur ne manque pas d’atouts.
Elles ont leurs enfants à l’école, mais n’ont pas toujours le droit de les accompagner lors de leurs sorties scolaires parce qu’elles portent le voile. N’en pouvant plus de vivre cette discrimination, les mères voilées, réunies au sein d’un collectif dénommé Mamans Toutes Egales (MTE) exigent d’être traitées comme toutes les autres mères. Le gouvernement Fillon, divisé sur la
Ils avaient apporté leur soutien au Mouvement du 20 février et participé à leurs marches pour exiger des réformes politiques. Il n'en va plus de même aujourd'hui. Plusieurs syndicats, figures politiques et hommes d’affaires appellent à voter pour la nouvelle loi fondamentale, alors qu'ils soutenaient, jusqu'à présent, le Mouvement des jeunes, lequel persiste dans son opposition au nouveau texte.
La marine royale marocaine enrichit sa flotte. Elle vient de réceptionner son plus grand patrouilleur, le Bir Anzaran. Ce navire de type OPV 70 conçu en France, devrait contribuer à renforcer la surveillance des côtes marocaines, ainsi qu’à la lutte contre l’immigration clandestine et le trafic de drogue.
Après les sans-papiers, les immigrés réguliers, la droite française met le cap sur les binationaux. Un projet de rapport parlementaire qui a filtré dans la presse, préconise d’exiger des binationaux de choisir entre la nationalité française et celle de leur pays d’origine. Mais pas uniquement.
L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) vient d’accorder au Maroc le statut de «Partenaire pour la démocratie». Ce statut, introduit en 2010 et attribué pour la première fois à un pays non membre du Conseil de l’Europe, engage le Maroc à promouvoir la bonne gouvernance ou encore à supprimer la peine de mort.
La visite de trois jours en Algérie, entamée samedi par le ministre de l’Agriculture Aziz Akhannouch a été l’occasion pour les deux pays voisins de signer des accords de coopération agricole. Le Maroc et l’Algérie cherchent à être complémentaires dans ce domaine stratégique. Les deux voisins détiennent d’énormes potentialités.
Les enfants issus de l’immigration, talon d’Achille de l’école française ? Oui, si on en juge les propos tenus par une rectrice fraichement nommée. Dans un entretien à la presse, la rectrice de l'académie Orléans-Tours a implicitement soutenu que les enfants issus de familles immigrées constituent un handicap pour l’école française. Des propos qui rappellent ceux du ministre de l’intérieur