L’ouvrage «La femme artiste dans le monde arabe» de Rita El Khayat, publié en mai 2011, évoque tour à tour les différentes figures féminines de l’art arabe depuis ses origines. Il insiste sur le rapport entre la situation de ces femmes dans la société et leurs pratiques artistiques.
Kenza Isnasni a gagné le prix de la Marocaine résidant à l’étranger de la Course féminine de la victoire, organisée par l’athlète Nezha Bidouane, le 24 avril, à Rabat. Elle a participé en tant que marraine de l’association «Le sourire des sans voix». La jeune femme, depuis le tristement célèbre assassinat de ses deux parents, à Bruxelles, en 2002, n’a cessé de se battre
Rencontrer Choumicha, c’est un peu comme rencontrer une vieille amie, l’aura télévisuelle en plus. La surprise n’est effectivement pas de mise puisque tout Marocain qui se respecte a biberonné aux sons de sa voix expliquant comment associer légumes et couscous. L’absence de décalage entre le personnage de télévision, cuisinière dans une émission de 2M, toujours souriant et doux et la femme, bien
Mazagan a connu une vie comme peu de villes en connaissent. Citadelle portugaise imprenable, elle a résisté, deux siècles durant, aux assauts marocains, avant d’abdiquer en 1769. Les habitants fuient et fondent Novo Mazagào en Amazonie. Au Maroc, en 1832, la forteresse effondrée est rénovée par le sultan Moulay Abd ar-Rahman. Elle devient : El Jadida.
Le Maroc et le Portugal ont vécu une histoire croisée faite d’invasion, d’occupation puis de reconquête. La présence portugaise au Maroc ne se résume toutefois pas à un état de guerre permanent. Otmane Mansouri, historien marocain, évoque les différentes dimensions du face à face maroco-portugais.
La présence portugaise au Maroc s’étend de 1415 à 1768 avec la prise de Mazagan par les Saadiens. Sous couvert de lutter contre les «infidèles musulmans», les Portugais s’emparent du port de Sebta, clé du commerce entre l’Afrique et l’Europe, et de nombreuses villes côtières. Durant près de 200 ans, Portugais et Marocains voient l’essentiel de leurs rapports limités à des
La vente sur plan de biens immobiliers au Maroc a été règlementée, en 2002, par la loi sur la Vente d’immeuble en Etat Futur d’Achèvement (VEFA). Si ’ensemble de ses dispositions protègent réellement l’acheteur, elles restent peu appliquées. Les promoteurs immobiliers l’accusent d’être inapplicable.
Un Marocain résidant à l’étranger est plus vulnérable aux arnaques et autres petits arrangements qu’un résidant lorsqu’il achète un bien immobilier au Maroc. Eloigné du lieu où il achète, il ne peut tout vérifier par lui-même. Il est toutefois possible de prendre certaines précautions pour éviter des mésaventures.
Le Smap Immo s’est lancé à Paris, en 2003. Depuis, il a fait des petits. Aujourd’hui, les principaux pays d’accueil des Marocains sont en passe d’avoir chacun leur propre salon. La France, à elle seule, en compte 4. Ils sont autant d’opportunités pour les promoteurs immobiliers de rencontrer une cible de clientèle très convoitée.
L’immobilier est le premier poste d’investissement des MRE au Maroc. Ces investissements sont donc du plus grand intérêt pour les promoteurs immobiliers marocains. Basés, d’abord, sur un principe simple qui veut que l’on garde un «chez soi» dans le pays où l’on a ses attaches, ces achats ont évolué au fil du temps. Si la première génération d’immigrants a, dans les vieux pays