Le prince Hicham a décidé de réagir aux articles parus en France, et ensuite relayés par des supports au Maroc et ailleurs, l’accusant d’être l’instigateur de l’action en justice engagée, à Paris, par Zakaria Moumni contre Mounir Majidi. Il va ainsi poursuivre devant la justice britannique un site d’actualité saoudien basé à Londres. Son propriétaire est le journaliste Othman Al Omeir, un
Même si les résolutions de la 4ème commission de l’ONU ne sont pas contraignantes, le Maroc n’a pas laissé l’occasion passée sans rappeler son opposition à tout élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara. Après Christopher Ross, l'impartialité de Ban Ki-moon est elle aussi pointée du doigt par le royaume.
Avec un retard d’une journée, le jeune marocain, J.W.N, l’ami de Ray Cole, a pu bénéficier de la liberté provisoire. Néanmoins, le Marrakchi qui a connu le Britannique sur les réseaux sociaux, risque encore la condamnation en appel.
Le PJD ne désespère pas de marquer de son empreinte le paysage médiatique. Dans un remake de la polémique sur les cahiers de charges de l’audiovisuel, une nouvelle est sur le point d’éclater entre les islamistes et l’opposition de gauche sur l’image de la femme dans les médias.
Nouveau développement dans l’affaire de la positon de religieux égyptiens hostiles à la célébration au Maroc de l’Aïd El Kébir, un jour après l’Arabie saoudite. Des hakers marocains viennent de pirater le site de l’université d’Al Azhar. Détails.
La forte mobilisation au Royaume-Uni en faveur d’un britannique emprisonné à Marrakech pour pratiques homosexuelles a contraint la justice marocaine, pourtant réputée lourde, à agir très vite et ordonner la libération du Britannique. A Londres, des parlementaires ont même menacé Rabat de conséquences économiques et diplomatiques si Ray Cole n’est pas libéré.
La gendarmerie d’une commune rurale relevant territorialement de la wilaya d’Agadir a arrêté, lundi, trois élèves pour apologie à Daesh et outrage au drapeau national.
La justice espagnole continue d’instruire des cas de prétendus génocides au Sahara occidental et dans les camps de Tindouf, même si le parlement local en a décidé autrement. Hier, un magistrat a auditionné des polisariens présentés comme des «témoins» de l’affaire du charnier découvert il y a une année. Explications.
Le bras de fer entre l’AMDH et le ministère de l’Intérieur se poursuit sans relâche. Et sauf changement de dernière minute, il devrait connaitre un nouvel épisode d’ici une semaine. Les camarades d'Ahmed El Haij comptent en effet organiser des marches pour réclamer la levée du «blocus» des activités de l’association imposé par le département de Mohamed Hassad.
Des religieux égyptiens montent au créneau. Ils accusent le Maroc de briser l’unanimité du monde islamique parce qu’il a osé célébrer l’Aïd El Kébir le dimanche.