La nomination de l’ancien chargé d’affaire mauritanien, Ould Lakhel, à Rabat au poste d’ambassadeur à Bamako, n’a pas laissé les autorités marocaines indifférentes. La machine diplomatique marocaine s’est mobilisée assez rapidement pour demander des explications aux responsables de Nouakchott. Une entreprise qui semble avoir réussi.
Il y a quelques semaines un différend a opposé le PJD à Karim Ghellab au sujet du projet de la chaîne parlementaire que l’sitiqlalien voulait lancer avant qu’il ne quitte le perchoir. Un autre front de tension entre les deux parties est sur le point d’éclater. Il concerne cette fois, les aides de l’Union européenne.
Une partie du conflit ouvert entre le Maroc et le Polisario se joue, actuellement, au Pérou. L’ambassade du royaume à Lima réplique aux sorties médiatiques agressives à l’égard du royaume du président de l’association locale de soutien au Front. L’intervention de la diplomate n’a guère trouvé grâce aux yeux des milieux proches des amis du Polisario. Ces derniers tentent de convaincre les
Les relations maroco-mauritaniennes se dirigent-elles vers une rupture officielle ? Les informations en provenance du pays du général-président Abdelaziz laissent peu de chance à un retour à l’embellie entre Rabat et Nouakchott. Explications.
Il y a des signes qui ne trompent pas. Rabat et Paris sont sur le point de tourner la page de l’affaire Hammouchi. Le cycle des visites des ministres des deux pays a repris son cours normal. Ainsi, Christiane Taubira se rendra, début avril, au Maroc. C’est une ministre PJDiste qui l’a annoncé sur France 24. Détails.
Une dizaine de personnes ont participé, hier soir, à un sit-in devant l’ambassade égyptienne à Rabat. Une initiative à l’appel de plusieurs associations marocaines, dont notamment l’Observatoire de lutte contre la normalisation avec Israël, afin de dénoncer le refus des autorités du Caire de laisser passer des militantes des droits de l’homme vers Gaza. Pour rappel, le mercredi 5 mars, le gouvernement égyptien
Les Marocaines seront-elles nombreuses pour réclamer leurs libertés sexuelles, mercredi prochain devant le parlement ? Amnesty a lancé un appel au sit-in. L’ONG demande aux autorités marocaines l’abrogation de plusieurs articles du code pénal qu’elle juge discriminatoires à l’égard de la gent féminine. La réaction de Mustapha Ramid n'a pas tardé, le ministre promet de nouveaux amendements pour
En vue d’améliorer le classement du Maroc dans les prochains rapports de l’association Transparency international, le gouvernement Benkirane voit les choses en grand. Désormais, il ne se limite plus à combattre la corruption mais place la barre un peu plus haut, ciblant la prévarication. C’est le très controversé, Mohamed Moubdiî, le ministre de la Fonction publique qui est l’auteur d’une telle initiative.
A leur manière les islamistes au gouvernement, s’initient à une normalisation avec les juifs d’origine marocaine. Trois députés du PJD se sont débarrassés, le temps d’une réunion, de leur référentiel politico-religieux, pour prendre langue avec des victimes, de confession israélite, de spoliations immobilières à Casablanca.
Après deux semaines de brouille, un ministre français a visité le Maroc. Un déplacement qui n’a pas subi de report comme c’était le cas pour Nicolas Hulot. Toutefois, l’arrivée de François Lamy n’a pas eu la couverture médiatique qu’elle mérite de la part des médias officiels. Explications.