Bien qu’il soit bordé par la Méditerranée et l’océan Atlantique, le royaume ne possède, jusqu’à aujourd’hui, aucun sous-marin. En revanche, l’Algérie en compte quatre russes dont deux très anciens. En vue de rattraper ce retard sur son principal concurrent régional, Rabat est intéressé par un sous-marin allemand et un autre russe.
Après des mois de calme précaire, la ville de Béni Bouyache renoue avec le cycle des protestations et des interventions, souvent brutales, des forces de l’ordre. Un cycle qui n'est pas sans rappeler celui de mars dernier.
Sur les traces des Emiratis qui ont racheté le club anglais, Manchester city et les Qataris qui ont un contrôle total sur le PSG, les Marocains, avec des ambitions bien modestes, tentent une petite percée dans le football européen en se positionnant comme possibles acquéreur d’une petite équipe évoluant en National à Paris.
Au Maroc, ministères et grandes entreprises publiques ont des biens immobiliers, souvent occupés par de hauts cadres. Même à la retraite, ils continuent de bénéficier gracieusement, et en toute illégalité et sans le moindre souci, de villas, maisons ou appartements, appartenant aux contribuables.
Le Maroc était, mardi à l’ONU, sur la sellette. L’usage excessif de la torture en était la cause. Une pratique qui pourrait nuire aux chances de Rabat de briguer un siège au Conseil des droits de l’Homme.
Etre député au Maroc a sa particularité. C’est un titre qui procure bien des avantages et aucune contrainte, à part d'assister, une fois par an, en djellaba, à la séance d’ouverture présidée par le roi.
Que fait le gouvernement Benkirane pour les MRE qui peinent, en ces temps de crise en Europe, à rembourser les crédits de logements qu’ils ont contractés ? Une question soulevée, hier au parlement, par l’opposition.
Pendant plus de 70 jours, le projet de loi de finances de 2013 sera examiné par les deux chambres du parlement. Un budget calculé sur un baril de pétrole estimé à 105 dollars et ambitionne de maintenir les réserves en devises à 4 mois.
L’absence de représentants de la presse indépendante lors du déplacement royal en Arabie saoudite a nettement favorisé les conseillers du roi au détriment des ministres de Benkirane.
Après des mois de laxisme, les autorités réagissent à la succession d’agressions commises par des salafistes contre des citoyens marocains. Rabat tente d’éviter ce qui se passe, actuellement, en Tunisie et Libye.