Le coup d’envoi du 8e congrès du PJD a été donné ce matin au complexe sportif Moulay Abdellah de Rabat. Abdelilah Benkirane a pris la parole, soulignant d’emblée que son allocution est un «adieu» au secrétariat général. Un message adressé surtout à ses fidèles, les invitant à accepter le fait accompli et à renoncer au projet d'un troisième mandat. Comme nous l'avions
La ville d’Al Qods a été mentionnée lors du prêche de la prière du vendredi, accomplie par le roi Mohammed VI à la mosquée Hassan II de Casablanca. Néanmoins, le ministère des Habous et des affaires islamiques n’a pas enjoint aux imams de suivre le même exemple.
Dans deux communiqués, le secrétariat général et le conseil national du Parti de la justice et du développement (PJD) entendent clore définitivement la polémique concernant le projet de 3e mandat d’Abdelilah Benkirane, demain au congrès du parti.
Dans un bref communiqué publié aujourd’hui, le Conseil de la guidance d’Al Adl Wal Ihsane (AWI) invite «le peuple marocain à une participation massive» à la marche du 10 décembre à Rabat. Celle-ci est prévue en solidarité au peuple palestinien, après que le prédisent américain Donald Trump ait décidé de transférer son ambassade de Tel Aviv à
Le PJD a remporté l’élection partielle, tenue hier, à la circonscription d’Inzeggan. Le site d’actualité du parti indique que le candidat de ce dernier a remporté 45,5% des voix. A la veille de l’ouverture du 8e congrès du PJD, ce succès est plutôt une bonne nouvelle pour Saâdeddine El Otmani, descendu la semaine dernière dans l’arène pour apporter son soutien à Mohamed
Rabat accueillera, le 10 décembre, une marche condamnant la décision du président américain de transférer l’ambassade de son pays à Al Qods. Les deux ONG à l’origine de cet évènement n’ont pas consulté Al Adl wal Ihsane, ce qui suscite des interrogations sur la qualité de la participation de la Jamaâ.
Les fidèles de Benkirane abattent leur dernière carte. Après la bataille perdue au sein du secrétariat général pour un 3ème mandat consécutif pour Abdelilah Benkirane, ses fidèles abattent leur dernière carte. Selon leur interpération du règlement intérieur modifié en 2012, l'actuel secrétaire général n'en serait pas à son deuxième mais à son premier
Droit dans ses bottes, Donald Trump a fini par «définir» seul le statut d’Al Qods. Le président américain a tout simplement décrété la ville sainte «capitale» d’Israël, malgré les mises en garde de plusieurs chefs d'Etats arabes dont le roi du Maroc. Une décision, a-t-il expliqué, qui va encourager le processus de paix entre Palestiniens et Israéliens.
Le séparatisme en Espagne est certes plus prononcé en Catalogne et au Pays-Basque, mais une petite formation d’extrême gauche promeut «une république de l’Andalousie». Un territoire qui intègre le nord marocain.
Emmanuel Macron a appelé le Maroc et l’Algérie à ouvrir un «dialogue» en vue d’une solution à la question du Sahara. Une crise qui «bloque» l’intégration économique au Maghreb, a affirmé le président français dans une interview accordée au quotidien El Khabar. Une déclaration qui devrait provoquer des grincements de dents.