L’affaire de l’acquisition du lot de terrain du wali de Rabat pour la modique somme de 350 dirhams par mètre carré n’est pas un cas isolé. C’est en tout cas l’un des récents exemples qui trahissent un système basé sur l’octroi d’une série de privilèges au profit de certaines personnalités. Les bénéficiaires ne sont pas toujours classés dans la catégorie
La Ligue arabe agonise. Après l’annulation du sommet prévu au Maroc, de nombreux chefs d’Etat ne se rendront pas au sommet de Nouakchott. L’Arabie saoudite n’a envoyé aucun membre de la famille royale, tandis que le Maroc y est représenté par son ministre des Affaires étrangères et que le président Al Sissi est resté au Caire. Même le président palestinien est aux abonnés absents.
La disparition de Bachir Mustapha Sayed n’aura pas duré longtemps. Le frère du fondateur du Polisario El-Ouali Mustapha Sayed est finalement rentré chez lui dans les camps de Tindouf. La diffusion de plusieurs photos de lui peu après sa disparition a fait taire les rumeurs : il y apparaît en bonne santé et sans aucun stigmate après cinq jours d’errance dans le désert, sans eau ni nourriture. Officiellement, c’est une
Les ministères de l’Intérieur et des Finances défendent le wali de Rabat. Pour les deux départements, l’acquisition par le wali d’un lot de terrain au prix modique de 350 dh /m2 est légale. En revanche, les deux dénoncent la politisation de l’affaire par le PJD à des fins électoralistes. Détails.
Une disparition énigmatique dans les camps de Tindouf. Les recherches s’activent pour tenter de retrouver Bachir Mustapha Sayed, le frère du fondateur du Polisario qui n’a donné aucun signe de vie depuis cinq jours. Toutes les pistes sont envisagées. La direction du Front observe quant à elle le silence.
Les cinq mois qui nous séparent du prochain sommet de l’Union africaine seront décisifs. Par la voix de son Premier ministre, Alger a rappelé que la «RASD» est un membre fondateur de l’UA. Du côté marocain, Salaheddine Mezouar se dit convaincu que la «suspension» de l’entité autoproclamée en 1976 n’est «qu’une question de temps». C’est donc une nouvelle bataille diplomatique
Le Maroc a été l’un des premiers pays à condamner la tentative du coup d’Etat en Turquie survenue le 15 juillet. Une semaine plus tard, le royaume se dit «profondément préoccupé par la tournure des événements, notamment la grande vague d’arrestations dans les rangs des enseignants et des juges», indique le gouvernement Benkirane dans un communiqué parvenu à notre rédaction. En revanche,
A chaque fois qu’Abdelilah Benkirane est la cible d’attaques de la part de l’entourage royal, il riposte en multipliant les remerciements publics à l’adresse du roi Mohammed VI. La réunion du conseil de gouvernement du jeudi 21 juillet n’a pas dérogé à cette règle, qu’il applique depuis 2012. Cette fois-ci, elle lui a servi de tribune pour répliquer à ses opposants. «Le roi est le garant,
Le Portugais António Guterres semble bien placé pour succéder à Ban Ki-moon, et c’est plutôt une bonne nouvelle pour le Maroc. Explications.
Une vague d’interpellations dans les milieux salafistes marocains s’est produite dans la matinée du 19 juillet dernier à Tanger, Fès, Salé, Tétouan et Marrakech. Ces villes sont réputées pour abriter une forte communauté salafiste. La plupart des suspects ont été interrogés par la police pendant plusieurs heures avant d’être finalement relâchés. Seuls six sont encore