Nabilla Benattia est toujours à Marrakech pour le tournage de la troisième saison de son émission «Allo Nabilla», mais aussi pour préparer ses fiançailles. C’est ce qu’a fait savoir la jeune bimbo d’origine algérienne dans une interview avec une radio marocaine.
Charlie Hebdo, le journal satirique français, est une fois de plus accusé de racisme. Cette fois-ci, les accusations ne proviennent pas d’une association ou d’un groupe de rap comme ce fut le cas il y a quelques jours, mais plutôt de l’un de ses anciens collaborateurs. Dans une tribune publiée jeudi, il affirme notamment qu’une «névrose islamophobe» s’est emparée de son équipe après le 11 septembre
Maisa Moghrabi n’aime pas qu’on interfère dans sa vie personnelle. Et pour cause, l’actrice marocaine garde encore des séquelles des violences que lui faisait subir son ex-mari.
En Angleterre, une ville du Staffordshire devait intégrer cette année, et pour la première fois de son histoire, un souk marocain dans l’un de ses marchés de Noël. Ce qui aurait pu faire une bonne publicité du royaume auprès des Anglais. Mais faute de visas, les commerçants qui devaient animer les lieux n’ont pas pu faire le déplacement.
A Tunis, les bains traditionnels sont en voie de disparition. Pour sensibiliser les Tunisiennes sur ce patrimoine en péril, une association a décidé de lancer un concept improbable.
Le Maroc serait-il devenu aujourd’hui une terre d’asile pour les fugitifs israéliens ? C’est la question que se pose la presse de l’Etat hébreu cette semaine, après le scandale suscité par le rabbin israélien, accusé de pédophilie et de viol, qui se cachait à Marrakech.
La bimbo, actuellement en tournage à Marrakech pour la nouvelle saison de son émission Allo Nabilla, aurait été refusée d’entrée au FIFM. Le scoop a été rapporté par un animateur télé qui était présent au moment des faits. La principale intéressée a, toutefois, démenti assurant même avoir été invitée par un prince marocain.
Julien Dray, député PS et un des fondateurs du mouvement SOS Racisme, n’est pas d’accord avec la vision du réalisateur Nabil Ben Yadir sur «la Marche pour l’égalité et contre le racisme» de 1983. Il accuse le film de détourner l’histoire en occultant, notamment, certains personnages clés de son succès. Le réalisateur belgo-marocain répond depuis Casablanca.
Aux Pays-Bas, une styliste néerlandaise a mis au point une marque de foulard spécialement destinée aux femmes sportives de confession musulmane. Une manière de lutter contre les préjugés dans un pays où les musulmanes sont souvent pointées du doigt.
C’est un parcours des plus contradictoires dont a fait preuve un Britannique d’origine marocaine à Londres, avant son départ pour la Syrie. Pour financer son voyage et aller combattre le régime d’Al Assad, le «jihadiste» agressait des gens avec un taser, dans un quartier huppé de la capitale anglaise.