Ramadan 2013, Juan Carlos effectuait sa dernière visite, en sa qualité de roi d’Espagne, au Maroc. Ramadan 2014, le nouveau monarque, Felipe VI se déplace à Rabat. Comme dans le cas du père, le fils bénéficie, également, de cadeaux de la part de Mohammed VI.
Un tiers ? Non 40%. C'est le nombre de sièges que visent les femmes pour les prochaines élections communales de 2015. L’Istiqlal de Hamid Chabat y est entièrement favorablement. La balle est dans le camp du gouvernement Benkirane mais également chez celui des partis politiques.
Des anciens combattants marocains à la Seconde Guerre mondiale prennent part, aujourd’hui à Paris, à la fête du 14 juillet. Parmi eux, Hammou Moussik, 96 ans. L’hebdomadaire Le Nouvel Observateur lui a consacré un sympathique portrait, dans sa série «Ils ont combattu pour la France».
«Irresponsables», «outranciers», «déclarations insultantes», «accusations fallacieuses», voilà un échantillon du lexique utilisé par la diplomatie algérienne pour riposter aux propos tenus, le jeudi 10 juillet au parlement, par le ministre marocain des Affaires étrangères sur le rôle d’Alger dans le conflit du Sahara occidental. Un contexte qui n’est pas sans rappeler
Un rabbin de la communauté juive de Casablanca a été victime d’une agression. Cet acte pour l'instant isolé semble en relation avec les événements à Gaza et inquiète la communauté juive marocaine. Un incident qui intervient quatre jours après les assertions du ministre de l’Intérieur sur la menace terroriste sérieuse qui guette le Maroc.
Depuis la publication du rapport d’Amnesty international sur la torture mettant en cause le Maroc, le gouvernement a décidé de réagir en soumettant les allégations à des enquêtes. Mais celles-ci se finissent jusqu’à présent par l’arrestation des initiateurs des plaintes pour «dénonciation calomnieuse». Et parmi les victimes on retrouve deux membres du Mouvement du 20 Février, Oussama
Le projet de loi sur les banques islamiques trébuche à la Chambre des conseillers. Pourtant son passage se présentait comme une simple formalité, notamment après son adoption à l’unanimité par les députés. Le président de la Chambre surprend toute la classe politique et décide d’adresser le texte au Conseil économique et social.
Au parlement, le ministre des Affaires étrangères assure que le conflit du Sahara est strictement une affaire entre le Maroc et l’Algérie. Mezouar a accusé le voisin de l’Est d’être responsable de «médiocres manœuvres». Il a également révélé que le Maroc a refusé une visite de Christopher Ross. Depuis les mises en garde de Mohamed VI à Ban Ki-moon, il est clair
Le ministre de l’Intérieur reconnait qu’une menace terroriste guette le Maroc. Pour y faire face, un dispositif de sécurité est mise en place. Le danger, comme a révélé Mohamed Hassad, émane des combattants marocains en Syrie et en Irak ainsi que leurs complices en Libye.
Pour les imams et les prédicateurs, la politique est déclaré non grata. Le ministre de tutelle explique cette interdiction par le statut un peu spécial des religieux par rapport au reste des Marocains. Selon ses dires, ils sont placés sous la bienveillance du commandeur des croyants, le garant de leurs droits.