Le ministre des Affaires étrangères s’est rendu hier à Moscou. Le Maroc souhaite relancer ses relations stratégiques avec la Russie. Outre les retombées économiques de la visite royale effectuée en mars 2016, saluée au passage par Nasser Bourita, le Maroc et la Russie adoptent presque les mêmes positions sur certains dossiers internationaux.
Après la colère du président du Collectif pour la langue arabe, c’est au tour du bras estudiantin du PJD de monter au créneau pour dénoncer la décision du ministre de l’Education nationale d’enseigner le français dès la première année du primaire à l’école publique. L’organisation parle d’une mesure «portant atteinte à l’identité du peuple
Saïd Chaou n’a pas été libéré, indique la MAP qui cite une source proche du dossier. L’agence officielle apporte ainsi un démenti aux informations qui ont circulé avec force cet après-midi sur les réseaux sociaux, annonçant la libération du parrain financier du «Mouvement du 18 septembre pour l’indépendance du Rif». «L’avocat du prévenu a été entendu
A six semaines de la fête de l’Aïd El Kébir, le principal parti d’opposition à Melilla menace de battre le pavé pour contraindre le gouvernement Rajoy à laisser entrer dans l'enclave espagnole environ 6.000 moutons élevés au Maroc. Le chef de Coalition pour Melilla prévoit des marches de protestations pour, dit-il, «défendre des traditions millénaires».
Pour éviter que le «Hirak» au Rif ne fasse tache d’huile, le gouvernement El Othmani promet des visites dans certaines régions afin d’évaluer la cadences de la réalisation des projets lancés sur place. Béni-Mellal et les trois régions du Sahara seront les premières bénéficiaires de ce programme.
Podemos ne se prive pas de montrer son opposition à l’Etat marocain. Cette semaine, les camarades de Pablo Iglesias se sont mobilisés d’abord en faveur du Hirak au Parlement européen, pour ensuite dénoncer l’intégration par le royaume du Sahara dans ses eaux territoriales.
Abdelmajid Tebboune n’a pas encore terminé son deuxième mois à la tête du gouvernement algérien qu’il est sèchement rappelé à l’ordre par les tenants du pouvoir. Sa politique d’ouverture en direction des migrants africains est la cible d’attaques portant les signatures du directeur du cabinet du président Bouteflika et du ministre des Affaires étrangères.
La décision prise par le gouvernement El Otmani d’intégrer l’espace maritime du Sahara dans ses eaux territoriales divise les hauts cadres du Polisario. Bachir Mustapha Sayed, réputé pourtant d’être un modéré, a pris la tête d’un courant qui plaide pour l’envoi d’éléments armés du Front dans la zone de Guerguerate en réponse à la décision marocaine.
Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, une campagne avait été lancée pour exiger des pays islamiques de retirer des manuels scolaires les versets appelant au jihad. Le Maroc, comme les autres, s’était plié à ce diktat. Quinze ans après l’adoption de cette politique venue d’ailleurs, les groupes intégristes n’ont jamais eu autant d’adeptes. Driss El Ganbouri, chercheur marocain
Qui a facilité la «fuite» d’une vidéo montrant Nasser Zefzafi en train d’exhiber son corps devant une caméra ? La Délégation générale de l’administration pénitentiaire ? La Direction générale de la sûreté nationale ? Le procureur général du roi près la cour d’appel de Casablanca a ordonné l’ouverture d’une enquête pour