«Aucune partie ne contrôle les subventions publiques accordées chaque année aux syndicats». C’est la phrase ayant marqué la séance hebdomadaire du mardi 23 juillet des questions orales à la Chambre des conseillers. Des propos hautement importants qui de surcroît portent la signature du secrétaire général de la Fédération Démocratique du Travail, proche de l’USFP. «Est-ce que
Après quatre décennies d'existence, le RNI s’ouvre sur de nouvelles catégories professionnelles longtemps oubliées par le parti. Ingénieurs et médecins viennent composer une petite armée de hauts fonctionnaires qui permet à la Colombe de peser sur la gestion de ministères qu’il ne dirige pas pour l’instant.
Depuis l’indépendance, l’enseignement au Maroc se résume en une guerre permanente entre les défenseurs d'une arabisation totale et intégrale et les partisans du bilinguisme. Hier, la Chambre des représentants a été la scène d’une nouvelle bataille qui a souri aux «modernistes», bien que la guerre reste loin d'être terminée.
Le Polisario s’ouvre sur des forces politiques longtemps marginalisées par le pouvoir en Algérie. Ainsi, son représentant à Alger, Abdelkader Taleb Oumar, a reçu une délégation du Mouvement démocratique et social (MDS) conduite par son coordinateur national Fethi Ghares, indique l’agence SPS. Sur la question du Sahara occidental, le MDS, qui se considère l’héritier du parti communiste algérien,
La plénière de la Chambre des représentants vient d’adopter le projet de loi-cadre n°51-17 relatif au système de l’éducation, de la formation professionnelle et de la recherche scientifique. 241 députés se sont prononcés en faveur du texte, 4 contre (2 du PJD et 2 du PSU) et 21 abstentions (de l’Istiqlal), a annoncé Habib El Malki. La séance a été marquée par l’absence
Les proches des trois activistes sahraouis, Moulay Abba Bouzeid, Fadel Breika et Mahmoud Zeidan, détenus à Tindouf appellent à une action commune. Ils prévoient d’organiser le mercredi 24 juillet un sit-in devant le siège du «ministère de la Justice» au camp de Rabouni pour «protester contre l’enlèvement» des trois dissidents et «réclamer leurs libération», lit-on dans
Faites ce que je dis, mais ne dites pas ce que je fais... Il y a quatre ans, Abdelilah Benkirane avait ordonné aux députés du PJD d’adopter un projet de loi aux conséquences beaucoup graves sur les «valeurs de l’islam» que d’autoriser l’enseignement des matières scientifiques en «la langue du colon».
Saad-Eddine El Othmani n’a pas tardé à réagir à la dernière sortie de son grand rival, Abdelilah Benkirane. «Le PJD est un parti d’institution et non un parti d’individus», s’est-il félicité dimanche après-midi à l'occasion d'un discours prononcé devant les membres de son parti siègeant dans les rangs de l’opposition dans les collectivités locales et les Chambres de
Les fidèles de Benkirane au PJD osent désormais rompre le silence. Au lendemain de la sortie médiatique de l’ancien chef du gouvernement, Driss Azami a présenté au secrétaire général du PJD sa démission de la présidence du groupe des députés du parti. Un coup dur pour Saad-Eddine El Othmani à la veille du vote du projet de loi-cadre 51-17 sur l’enseignement prévu ce lundi lors de
Très remonté contre la directive d’El Othmani poussant les députés du PJD à voter le projet de loi-cadre sur l’enseignement, Benkirane a publié, hier soir, une vidéo en live sur Youtube.