Une fois n’est pas coutume, l’Algérie a extradé vers le Maroc deux présumés combattants islamistes. La coopération sécuritaire entre les deux régimes est à l’image de leurs relations tendues.
Après les éloges européens sur la nouvelle politique migratoire du Maroc, voilà qu’arrivent les critiques. Et bien entendu, c’est sur le sujet des droits de l’homme au Sahara qu’elles se concentrent. Au parlement européen, les amis du Polisario ont réussi à transformer un rapport, en principe consacré au Sahel, en un réquisitoire contre le Maroc.
Après des semaines de médiatisation intense, le Danielgate réapparait sur les radars de l’actualité. Ce jeudi, le pédophile a déclaré devant un juge qu’il refuse son extradition vers Maroc. La justice espagnole a prolongé la détention de Galvan quarante jours supplémentaires.
Visiblement, l’Etat ne souhaite pas voir un remake du camp Gdim Izik à Assa. Pour éviter un tel scénario, des négociations sont en cours avec les représentants de la tribu des Ait Oussa.
Presque dix jours après l’arrestation d’Ali Anouzla, une première réaction du prince Moulay Hicham. Pour lui, il ne s’agit pas là d’un fait isolé. Le PJD a eu également son lot de critiques, il en est de même pour le Makhzen.
Les membres de la famille du jeune marocain, condamné à 30 mois de prison, pour avoir embrassé le christianisme, vit isolée dans le village d’Ain Aicha. Les habitants les évitent. Un drame qui s’ajoute à l’incarcération de leur fils. Une détention qui se déroule dans de mauvaises conditions. Il a été tabassé par les autres détenus à cause de sa religion. Craignant pour sa vie, la
Ali Anouzla a quitté les locaux casablancais de la Brigade nationale de police judiciaire pour la prison de Salé. Hier soir, un juge d’instruction a commencé l’interrogatoire du journaliste. Les charges retenues contre le directeur de Lakome sont lourdes. C’est le deuxième journaliste marocain poursuivi pour terrorisme cette année.
Le dernier festival Voix des femmes de Tétouan a connu une altercation verbale entre le public et une chanteuse égyptienne qui s'est dit favorable à la destitution du président Mohamed Morsi par l'armée. Hier à Salé, la même scène s’est répétée avec cette fois deux protagonistes : une actrice égyptienne et la ministre Bassima Hakkaoui.
Pour éviter un remake du camp Gdim Izik près de Laâyoune, les autorités ont vite démantelé un autre à Assa Zag. Mais au cours de l’opération un jeune a trouvé la mort. Sur les causes de son décès, les versions de sa mère et du ministère de l'Intérieur, divergent. Explications.
Le gouvernement tient à défendre l’arrestation de Ali Anouzla. Mais contrairement aux précédents cabinets, celui de Benkirane innove. Il ne se contente pas, en effet, uniquement de la prose. Son ministre de la Communication a brandi une partie de la Déclaration de Vienne sur le terrorisme et les médias pour justifier l’interpellation du journaliste mais en oubliant le reste. La sortie médiatique de Mustapha El Khalfi n’est pas