C’est dans une ambiance électrique que s’est déroulée, dimanche et jusqu'au matin de ce lundi, l’assemblée générale de la Fédération royale marocaine de football. Le successeur de Ali Fassi Fihri est, désormais connu, c’est Faouzi Lakjaâ. Les meubles sont sauvés. Le Maroc évite, ainsi, les sanctions de la FIFA.
Les indicateurs économiques marocains sont dans le rouge. Le gouvernement a opté pour le gel de tous les projets d'investissements jusqu’à la fin de cette exercice. Une mesure décidée directement par Benkirane et non en conseil de gouvernement, comme c’était le cas lors de la première réduction d’avril dernier. En une année, cette équipe à «économiser» 25 milliards de dirhams.
Les manifestations devant les consulats et ambassades n'arrêtent pas entre le Maroc et l'Algérie. La tension ne faiblit pas et la normalisation reste une perspective éloignée. Même le retour au statut quo d’avant le message de Bouteflika à la réunion d’Abuja n’est pas envisagé. Pour le moment, l’heure est à la guerre médiatique et aux sit-in. Après Casablanca, Rabat et Oujda le tour est venu aux
Même pas deux mois passés après l’accord du 20 septembre dernier signé entre le Maroc et le Mali annonçant la formation de 500 imams de ce pays dans les universités et écoles du royaume, la première promotion arrive à Casablanca.
Les salafistes marocains réclament une enquête afin de déterminer les causes exactes du décès de Mohamed Benjilali, survenu le 5 novembre dans un hôpital de Meknès. Ils viennent d'annoncer une mobilisation importante pour aujourd'hui, à travers plusieurs villes du royaume.
La dernière fois que le roi Mohamed VI s’est réuni avec un président américain remonte à 2002, sous le mandat de George W. Bush, à l’occasion d’un voyage officiel au pays de l’oncle Sam. Le 22 novembre, ce sera au tour de Barack Obama à Washington.
Le rythme des interpellations dans les rangs des migrants marocains en Algérie, s’accentue. Souvent des travailleurs dans le secteur du bâtiment qui paient le lourd tribut des relations très tendues entre les deux pays. Des petits drames qui ne sont pas sans rappeler l'expulsion de plus de 40 000 familles marocaines d'Algérie au lendemain de la Marche verte.
En bon élève de Manuel Fraga, un ancien ministre de la Communication du dictateur Franco, et de l’église espagnole, José Maria Aznar a, durant huit ans, adopté des positions contraires aux intérêts du Maroc. Ses nouvelles mémoires en sont la preuve.
Voilà un autre discours offensif du roi Mohammed VI sur le Sahara. Le souverain s’est inscrit en faux contre les rapports de certaines ONG et de quelques centres de décisions chez ses partenaires stratégiques sur la situation des droits de l’Homme au Sahara.
La crise malienne a offert au Maroc une belle occasion pour asseoir son influence au Sahel. Il entend désormais jouer un rôle prépondérant dans toute solution à même de garantir le retour de la sécurité et la stabilité dans cette région.