Adbelilah Benkirane a saisi la tenue de la session extraordinaire du Conseil national du PJD pour défendre indirectement sa gestion du programme «Al Hoceima phare de la Méditerranée». Le secrétaire général a attribué le «Hirak» que connait la capitale du Rif «au sentiment de dignité bafouée» des habitants et «non au retard dans la réalisation des projets», rapporte
Le PJD a tenu ce samedi une session extraordinaire de son Conseil national. Benkirane et ses fidèles ont réussi à placer le projet du 3e mandat au cœur des débats de la réunion. La prochaine confrontation avec les amis d’El Othmani sera l’élection des congressistes à prendre part au conclave de mi-décembre.
«Il n’y aura pas de centres d’accueil au Maroc pour les migrants», a indiqué le ministre des Affaires étrangères dans une interview accordée à la chaîne Russia Today. «Ce genre de mécanisme porte atteinte à la dignité humaine. Le Maroc le rejette. Le royaume s’est toujours opposé à ces propositions», a-t-il précisé. Pour rappel, l’ancien ministre des
La Minurso (Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental) reste une cible potentielle pour les groupes terroristes. «La mission onusienne a reconduit, hier, l’alerte lancée le 2 juin dernier à ses composantes civiles et militaires opérant dans la zone», nous confie une source au Sahara. «Le message demande aux éléments de la Minurso de redoubler de vigilance dans l’exercice de
Le ministre des Affaires étrangères s’est rendu hier à Moscou. Le Maroc souhaite relancer ses relations stratégiques avec la Russie. Outre les retombées économiques de la visite royale effectuée en mars 2016, saluée au passage par Nasser Bourita, le Maroc et la Russie adoptent presque les mêmes positions sur certains dossiers internationaux.
Après la colère du président du Collectif pour la langue arabe, c’est au tour du bras estudiantin du PJD de monter au créneau pour dénoncer la décision du ministre de l’Education nationale d’enseigner le français dès la première année du primaire à l’école publique. L’organisation parle d’une mesure «portant atteinte à l’identité du peuple
Saïd Chaou n’a pas été libéré, indique la MAP qui cite une source proche du dossier. L’agence officielle apporte ainsi un démenti aux informations qui ont circulé avec force cet après-midi sur les réseaux sociaux, annonçant la libération du parrain financier du «Mouvement du 18 septembre pour l’indépendance du Rif». «L’avocat du prévenu a été entendu
A six semaines de la fête de l’Aïd El Kébir, le principal parti d’opposition à Melilla menace de battre le pavé pour contraindre le gouvernement Rajoy à laisser entrer dans l'enclave espagnole environ 6.000 moutons élevés au Maroc. Le chef de Coalition pour Melilla prévoit des marches de protestations pour, dit-il, «défendre des traditions millénaires».
Pour éviter que le «Hirak» au Rif ne fasse tache d’huile, le gouvernement El Othmani promet des visites dans certaines régions afin d’évaluer la cadences de la réalisation des projets lancés sur place. Béni-Mellal et les trois régions du Sahara seront les premières bénéficiaires de ce programme.
Podemos ne se prive pas de montrer son opposition à l’Etat marocain. Cette semaine, les camarades de Pablo Iglesias se sont mobilisés d’abord en faveur du Hirak au Parlement européen, pour ensuite dénoncer l’intégration par le royaume du Sahara dans ses eaux territoriales.