«Cuando cae la noche, el alma de Sidi Belabbes asciende a la cima de la Koutoubia y no desciende hasta que todos los pobres ciegos de esta ciudad, donde abundan los mendigos, los enfermos y los leprosos, estén alimentados y acostados», cuenta la leyenda. Esto demuestra cuán conocido fue Abou Al Abbes Sebti, el más célebre de los Siete Santos de Marrakech, por su compromiso con las personas más desfavorecidas.
«Quand tombe le soir, l’âme de Sidi Belabbes monte au sommet de la Koutoubia et ne redescend que lorsque tous les pauvres aveugles de cette ville, où abondent les mendiants, les infirmes et les lépreux, sont nourris et couchés», raconte la légende. C’est dire combien Abou Al Abbes Sebti, le plus célèbre des Sept saints de Marrakech, a été connu pour son engagement pour les personnes les plus démunies.
Es la historia de un marroquí, de confesión judía, que fue al mismo tiempo rabino, comerciante, traficante de oro, explorador y geógrafo. En el origen de la llegada de los comerciantes judíos a Tombuctú, Mordekhaï Aby Serour incluso será guía para Charles de Foucauld en su «reconocimiento de Marruecos» en 1884.
C’est l’histoire d’un Marocain, de confession juive, ayant été à la fois rabbin, commerçant, trafiquant d’or, explorateur et géographe. A l’origine de l’arrivée des commerçants juifs à Tombouctou, Mordekhaï Aby Serour sera même guide pour Charles de Foucauld dans sa «reconnaissance du Maroc» en 1884.
En 1931, en el apogeo de su fama en Marruecos, Thami El Glaoui, entonces célebre pachá de Marrakech, solicitó a la lujosa casa relojera Cartier que le diseñara un accesorio. Este reloj inauguraría toda una serie titulada «The Pasha». Un poco de historia.
En 1931, soit au summum de sa gloire au Maroc, Thami El Glaoui alors célèbre pacha de Marrakech demande à la luxueuse maison de fabrication de montre Cartier de lui concevoir un accessoire. Cette montre inaugurera toute une série intitulée «The Pasha». Petite histoire.
Dans cette série, Yabiladi fait la lumière sur les organisations secrètes ayant marqué l’histoire du Maroc contemporain. Dans cette quatrième partie, flashback pour rappeler les origines et les opérations du «Croissant noir» fondé dès l’été de 1954, suite au démantèlement de «La Main noire». Une autre organisation secrète faisant partie d’un large groupe
Lors de ses premières années de règne, le sultan alaouite Moulay Ismail, et contre toute attente, a décidé de capturer encore plus d’esclaves. Son rêve : construire un palais plus somptueux que celui de Louis XIV à Versailles. Il réservait aussi un châtiment exceptionnel à ceux qui s’évadent et aux Metedors qui les aidaient à s’échapper.
Durante los primeros años de su reinado, el sultán alauí Moulay Ismail, y contra todo pronóstico, decidió capturar aún más esclavos. Su sueño: construir un palacio más suntuoso que el de Luis XIV en Versalles. También reservaba un castigo excepcional para aquellos que se escapaban y para los Metedors que les ayudaban a huir.
Il est l’un des érudits de l’Occident musulman les plus célèbres de son époque. Né à Ceuta vers 1083, les qualités et l’intelligence de Cadi Ayyad lui permettront d’occuper le poste de juge à Ceuta et à Grenade. Malheureusement, ses derniers jours seront marqués par l’opposition farouche qu’il opposera à la dynastie des Almohades.