Les travaux de l’autoroute de l’eau devraient commencer en 2018. Au terme de la première phase, 390 millions de m3 transiteront par des tunnels entre le barrage Makhazine, Mohamed Ben Abdellah et Massira pour assurer l’approvisonnement de Marrakech en eau potable et à usage industriel.
Une alerte a été lancée par la FAO : les criquets se multiplient au Sahara. Une très mauvaise nouvelle pour la région car si les criquets détruisent les cultures, l’insecticide très nocif utilisé pour la lutte antiacridienne tue aussi les abeilles et affaiblit encore les fragiles écosystèmes des oasis.
3 ans après l'accord conclu par la Société métallurgique d'Imiter avec une partie du mouvement de revendication "Route 96-Imider", la mine d'argent exploite 1 million de m3 d'eau par an dans une région touchée régulièrement par des pénuries d'eau. Un volume qui aurait été nettement supérieur si les manifestants n'avaient pas coupé l'une des arrivées d'eau de la mine en 2011.
Mohamed El Krimi, syndic judiciaire de la Samir désigné par le Tribunal de Commerce de Casablanca veut croire que l’unique raffinerie nationale est encore viable. Mais le Maroc doit-il conserver coûte que coûte une raffinerie pour des raisons stratégiques, même si elle n’est pas rentable ?
L’islam connaît en France deux mouvements opposés : une sécularisation liée à une tendance générale qui s’appliquent à toutes les religions et un regain religieux propre aux conditions de déploiement de l’islam en France.
A eux seuls, PSA et Renault ont annoncé en moins d’un an 1,5 milliard d’euros d’investissement dans le secteur automobile et plus 54 500 emplois directs et indirects. Mais l’intérêt du Maroc dans le développement du secteur automobile ne se limite pas au nombre d’emplois créés. Sur 130 entreprises implantées dans le secteur, seule une quinzaine est marocaine.
Les 42,5 milliards de dirhams de dette qui accablent la Samir aujourd’hui ne sont pas apparus soudainement en 2015. Raison d’Etat, connivence, manque de placements financiers, aveuglement, erreur de gestion, chantage, privatisation ratée ont abouti au désastre actuel.
Sortir de la seule perspective subsaharienne, exploiter la régionalisation, obtenir une représentation institutionnelle plutôt que politique, Abdelhamid El Jamri, membre du Comité pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille au sein du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, offre sa vision de ce que pourrait être la nouvelle politique migratoire - au sens large - du royaume, alors que
L’action sociale de l’Eglise catholique au Maroc a signé le 21 mars 2016 une convention avec l’Entraide nationale marocaine. Caritas, comme le HCR avant elle, tente de passer le témoin d'une politique migratoire complète à l'Etat.
Les mesures prises pour réduire les émissions de gaz à effet de serre au niveau national sont rentables à long terme, selon la dernière communication officielle du Maroc dans le cadre des COP. Si toutes les mesures envisagées sont réalisées, elles devraient rapporter 26 milliards de dirhams par an à l’Etat.