Le juge Baltazar Garzon avait, en 2008, accepté une plainte déposée par des membres du Polisario contre de hauts gradés de la sûreté au Maroc. Fin juillet 2013, un autre magistrat de l’Audience Nationale de Madrid décide d'ouvrir une enquêter contre cette fois deux responsables du Front accusés de «génocide». Le même juge devra instruire, dans les prochaines semaines, un autre dossier dans lequel 28
Si à l’occasion de la dernière Fête du trône, le roi Mohammed VI a accordé sa grâce à 48 détenus espagnols avec les conséquences que l'on sait, les Marocains incarcérés en Espagne n’ont pas eu cette faveur même s’ils sont 6000. Le Maroc officiel, roi et gouvernement, n’a exprimé aucune demande, en ce sens, à la partie espagnole.
La cour de cassation devra, sauf coup de théâtre, nommer dans les prochains jours un juge d’instruction afin de mener une enquête sur une affaire impliquant le ministre de l’Intérieur. Suite à la répression du sit-in du 2 août, des ONG viennent de déposer une plainte contre Mohand Laenser.
Si au Maroc le Danielgate continue d’être sous les feux de la rampe, il risque d’être éclipsé par un autre concurrent: le Molinagate, du nom de détenu espagnol gracié alors que son procès venait juste de débuter. En Espagne, le cas de 29 détenus, libérés dans les mêmes conditions que le pédophile de Kénitra, pose déjà un problème. La police dit attendre la
Le Maroc vient-il d'adouber le révérend Jesse Jackson ? L’un des fervents défenseurs des droits civiques aux Etats-Unis a eu, hier, des entretiens avec le roi Mohammed VI. Si cette opération de recrutement aboutie, le Maroc aura alors un défenseur de marque au sein du parti démocrate et de la communauté afro-américaine.
Après le silence des premiers jours de l'éclatement du Danielgate, voilà que le gouvernement tente de rattraper son retard. Benkirane veut savoir la partie qui a donné les ordres aux forces auxiliaires de charger les manifestants opposés à la grâce royale dont a bénéficié l’Espagnol. Ne recevant aucun écho de la part de son ministre de l’Intérieur à sa demande, le titulaire de la justice
Sans contestation, la Danielgate trône sur l’actualité au Maroc. Chaque jour qui passe apporte son lot de nouveautés, contraignant les possibles protagonistes dans cette affaire à briser leur silence. Fouad Ali El Himma en fait partie. Des «jeunes de la région de R’Hamna», le font à sa place sur facebook, ils se mobilisent pour la défense du conseiller du roi.
Octobre 2011, la justice condamne l’auteur présumé de l’attentat d’Argana à la peine capitale. Depuis, il n’a cessé de clamer son innocence, estimant qu’il est juste un bouc-émissaire. Après une lettre adressée au roi, il y a quelque mois, Adil El Otmani récidive par un nouveau communiqué dans lequel il avance qu’il aurait refusé de l’argent pour endosser la responsabilité
Comme dans d’autres occasions similaires, la Fête du trône de 2013 n’a pas dérogé à la règle. Une série de décorations ont été attribué par le roi Mohammed VI. Deux en particuliers pourrait attirer l'attention des militants anti-sionistes et défenseurs de la cause palestinienne.
Le Maroc tente de redorer son image auprès des communautés migrantes. De gendarme de l’Europe, il veut se convertir, au moins sur le plan juridique, en un défenseur des droits des travailleurs étrangers vivant sur son territoire. Le gouvernement est sur le point -c’est juste une question de jours- de signer la convention internationale de 1949 accordant protection aux employés étrangers dans le royaume.